C O NSéquence directe de la guerre d'irak.
http://www.rfi.fr/actufr/articles/079/article_45266.asp
Venezuela/Russie
Chavez achète des armes à Moscou
A Ijvesk, le président vénézuélien a visité l'usine de production des célèbres Kalachnikov.
(Photo : AFP)
Hugo Chavez, le très médiatique président du Venezuela, effectue une tournée sur le vieux continent européen, tournée qui le conduira ensuite en Iran, au Vietnam et au Mali. La première étape du président vénézuélien a été la Biélorussie, pays mis au ban de la communauté internationale. Chavez est actuellement en Russie où il va acheter des armes, ce qui a fait réagir les Etats-Unis.
Imprimer l'articleEnvoyer l'articleRéagir à l'article
Le président Chavez, souvent qualifié de chef d’Etat populiste, cultive l’art de la controverse. En ce moment, il effectue une tournée qui a toutes les chances d’irriter bon nombre de pays occidentaux et en premier lieu les Etats-Unis. La première étape, en Biélorussie, du président vénézuélien lui a donné d’emblée l’occasion de se montrer toujours aussi provocateur. Une bonne partie de la communauté internationale boycotte le président Loukachenko. Il est considéré comme le leader du dernier régime autoritaire en Europe. Alexandre Loukachenko est en particulier persona non grata en Europe. L’Union européenne, qui avait envoyé des observateurs pour le scrutin présidentiel de mars dernier, estime que la réélection du président sortant a été irrégulière. Ne tenant pas compte de cette réprobation internationale, le président Chavez a exprimé sa «solidarité» à son «ami» biélorusse. «Nous devons fonder une équipe ensemble. Ce sera une équipe combative», a déclaré Hugo Chavez lors de sa rencontre à Minsk avec le leader que les Etats-Unis considèrent comme le «dernier dictateur d’Europe».
Après la Biélorussie, le président vénézuélien est maintenant en Russie pour une visite officielle de deux jours. Première étape, ce mercredi, Volgograd, où il se rend dans une usine de fabrication de véhicules blindés destinés à l’usage des parachutistes. Avant de s’envoler pour Moscou, le président Chavez fait également un saut à Ijvesk, dans le centre du pays. Le président vénézuélien veut voir la fabrication des célèbres fusils d’assaut Kalachnikov. Récemment, le Venezuela en a acheté 100 000 exemplaires, dans leur version AK103. Des négociations sont déjà engagées pour la création d’un site de production de ces fusils au Venezuela.
Avant même l’arrivée d’Hugo Chavez à Moscou où il doit signer jeudi un contrat de plus d’un milliard de dollars concernant l’achat de 24 avions de chasse Sukhoï-30 et d’une trentaine d’hélicoptères, les Etats-Unis ont critiqué cette vente d’armes. Washington espère que la Russie va reconsidérer ce contrat d’armement avec le Venezuela. «Nous avons des idées très claires là-dessus et nous espérons que les Russes reconsidéreront leur vente parce que nous ne pensons pas que cela serve les meilleurs intérêts de la Russie ou du Venezuela», a déclaré un responsable du département d’Etat, Tom Casey. Et il a ajouté : «Nous avons dit à plusieurs reprises au gouvernement russe que les achats d’armes envisagés par le Venezuela excèdent ses besoins de défense et n’aident pas à la stabilité régionale».
Des armes qui parlent d’avance
A son arrivée à Ijvesk, où le chef d’Etat vénézuélien doit rencontrer l’inventeur des fusils Kalachnikov, Hugo Chavez a commenté les propos du département d’Etat américain. «Je ne suis pas un agresseur et je ne suis pas venu chercher des armes pour une guerre de tous contre tous. Simplement, les armes dont dispose notre armée ont vieilli et ne sont plus fabriquées, c’est pourquoi nous devons les échanger pour des armes nouvelles et fiables».
Hugo Chavez est attendu mercredi soir à Moscou. Il y rencontrera Vladimir Poutine dans la journée de jeudi et signera le contrat pour l’achat des Sukhoï. Le ministre russe de la Défense n’a cependant pas attendu l’arrivée du président vénézuélien dans la capitale russe pour mettre son grain de sel dans les échanges verbaux entre Caracas et Washington. Sergueï Ivanov a déclaré que la Russie honorerait les contrats prévus avec le Venezuela concernant la livraison d’avions de chasse et d’hélicoptères. «Une révision des contrats est absolument exclue», a précisé le ministre russe.
Le leader de la nouvelle gauche sud-américaine continuera ensuite sa tournée avec une étape au Qatar. Hugo Chavez y rencontrera l’émir cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani. Bien que ce pays du Golfe soit un allié des Etats-Unis, Hugo Chavez entretient des relations régulières avec le Qatar. Les deux pays sont producteurs de pétrole et membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L’étape la plus importante sera sans aucun doute celle de l’Iran. Etant donné la crise autour du programme nucléaire iranien, il est probable que la visite à Téhéran d’Hugo Chavez exacerbera encore la tension entre les Etats-Unis d’un côté, l’Iran et le Venezuela de l’autre. Le chef de l’Etat vénézuélien ne fait pas mystère de son soutien au régime iranien. Par le passé, Chavez a menacé les Etats-Unis de leur couper le robinet du pétrole si l’administration Bush n’était pas plus souple avec Téhéran. Le Venezuela est le quatrième fournisseur de pétrole des Américains.
Hugo Chavez soutient également, en tant que leader révolutionnaire, le Hezbollah. Des déclarations fracassantes sur le parti islamiste, Israël, le Liban et les Etats-Unis sont certainement à attendre de cette étape en Iran.
http://www.orientalement.com/p447-contre-qui-l%92algerie-s%92arme-t-elle-.html
Contre qui l’Algérie s’arme-t-elle ?
Actuellement, l’armée algérienne compte 162 000 militaires. Dès 1999, l’Algérie s’est lancée dans une longue et coûteuse opération de modernisation de son armée. À l’époque, l’armée algérienne sortait d’une décennie d’embargo sur les armes et souffrait de l’inadaptation de son armement, d’origine soviétique. Sous couvert de la modernisation de son équipement en vue de la lutte anti-terroriste, le général Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée algérienne, commence alors à sillonner les quatre continents dans l’espoir de tisser de nouveaux liens de partenariat militaire avec de nouveaux fournisseurs. En parallèle, les premiers vendeurs d’armes français et américains partent à la conquête de ce marché prometteur. Forte de ses pétrodollars, l’Algérie s’engage sans retenue dans une véritable course à l’armement. Selon un rapport de Forecast International, une agence de consulting et de marketing en matière de défense et d’armement basée à Newton dans le Connecticut (Etats-Unis), l’Algérie dépensera plus de 2,3 milliards de dollars annuellement à l’horizon 2007 pour ses achats d’équipements militaires. En 2004, la loi algérienne des finances a consacré près de 2,8 milliards de dollars en guise de budget de fonctionnement du ministère de la Défense nationale, qui dépasse de loin le budget de l’éducation nationale. Actuellement, l’armée algérienne compte 162 000 militaires. 60% des effectifs de l'armée de terre sont des appelés. Dans l’armée de l’air et la marine, le pourcentage d’effectifs descend à 15%. Il n’empêche, cette armée dispose aujourd’hui d’un arsenal hallucinant. En 2004, l’armée de l’air algérienne a commandé à la Russie 50 Mig-29SMT. Le même contrat incluait selon une revue russe spécialisée, une option de 150 appareils du même type. En 2004 toujours, l’Algérie a fait la commande d’un lot important de Sukhoï-30 dans une version spécifique dénommée SU-30MKA. Elle aurait également commandé le YAK-130, un autre appareil russe. Grâce à ces achats, l'Algérie peut aujourd’hui déployer plus de 240 chasseurs et avions de reconnaissance, ainsi que150 hélicoptères de combat. L'Algérie possède en outre 12 lanceurs FROG-7 (65 km) avec 32 missiles et aurait engagé des négociations avec Ia Corée du Nord pour l'achat de missiles SCUD-C d'une portée de 600 km et des redoutables missiles No-Dong 1, d'une portée de 1000 km. De surcroît, l'Algérie serait le seul pays du Maghreb en mesure de fabriquer un jour l'arme nucléaire. Elle dispose, en effet, de deux réacteurs nucléaires. Celui qui suscite le plus d’inquiétudes est le réacteur construit en coopération avec la Chine à Aïn Oussera au sud d’Alger. Inauguré en 1993, il a une capacité de 15 MW qui pourrait être poussée à 40 MW. En parallèle, l’armée algérienne a procédé à la rénovation de son parc de chars et de blindés russes, T 54, T 74, ainsi qu’à une profonde refonte de ses procédures de fonctionnement. Se voulant rassurants, les responsables algériens n’ont eu de cesse d’expliquer cette course à l’armement par la volonté d’éradiquer le fléau terroriste, ainsi que par le souci de préserver l’intégrité territoriale du pays. Mais contre qui ?
CONTRE QUI LES USA !
la guerre préventive aa eu comme autre ******équence l'enrichissement non seulement des usa mais aussi de la russie le gran dpote des usa aujourd'hui et ennemi juré hier.
ce qu'ils ont fait à l'irak pourrait se reproduire dans 10 ou 15 ou 20 ans ailleurs là où il ya un intérets énergétique comme en algérie ou au vénézuéla.
mais çà çà passe comme un pet de nonne sur une toile cirée !
et dans 10 ans on nous dira "c'est qwa çà ?"
pas dire qu'on ne vous a rien dit !
http://www.rfi.fr/actufr/articles/079/article_45266.asp
Venezuela/Russie
Chavez achète des armes à Moscou
A Ijvesk, le président vénézuélien a visité l'usine de production des célèbres Kalachnikov.
(Photo : AFP)
Hugo Chavez, le très médiatique président du Venezuela, effectue une tournée sur le vieux continent européen, tournée qui le conduira ensuite en Iran, au Vietnam et au Mali. La première étape du président vénézuélien a été la Biélorussie, pays mis au ban de la communauté internationale. Chavez est actuellement en Russie où il va acheter des armes, ce qui a fait réagir les Etats-Unis.
Imprimer l'articleEnvoyer l'articleRéagir à l'article
Le président Chavez, souvent qualifié de chef d’Etat populiste, cultive l’art de la controverse. En ce moment, il effectue une tournée qui a toutes les chances d’irriter bon nombre de pays occidentaux et en premier lieu les Etats-Unis. La première étape, en Biélorussie, du président vénézuélien lui a donné d’emblée l’occasion de se montrer toujours aussi provocateur. Une bonne partie de la communauté internationale boycotte le président Loukachenko. Il est considéré comme le leader du dernier régime autoritaire en Europe. Alexandre Loukachenko est en particulier persona non grata en Europe. L’Union européenne, qui avait envoyé des observateurs pour le scrutin présidentiel de mars dernier, estime que la réélection du président sortant a été irrégulière. Ne tenant pas compte de cette réprobation internationale, le président Chavez a exprimé sa «solidarité» à son «ami» biélorusse. «Nous devons fonder une équipe ensemble. Ce sera une équipe combative», a déclaré Hugo Chavez lors de sa rencontre à Minsk avec le leader que les Etats-Unis considèrent comme le «dernier dictateur d’Europe».
Après la Biélorussie, le président vénézuélien est maintenant en Russie pour une visite officielle de deux jours. Première étape, ce mercredi, Volgograd, où il se rend dans une usine de fabrication de véhicules blindés destinés à l’usage des parachutistes. Avant de s’envoler pour Moscou, le président Chavez fait également un saut à Ijvesk, dans le centre du pays. Le président vénézuélien veut voir la fabrication des célèbres fusils d’assaut Kalachnikov. Récemment, le Venezuela en a acheté 100 000 exemplaires, dans leur version AK103. Des négociations sont déjà engagées pour la création d’un site de production de ces fusils au Venezuela.
Avant même l’arrivée d’Hugo Chavez à Moscou où il doit signer jeudi un contrat de plus d’un milliard de dollars concernant l’achat de 24 avions de chasse Sukhoï-30 et d’une trentaine d’hélicoptères, les Etats-Unis ont critiqué cette vente d’armes. Washington espère que la Russie va reconsidérer ce contrat d’armement avec le Venezuela. «Nous avons des idées très claires là-dessus et nous espérons que les Russes reconsidéreront leur vente parce que nous ne pensons pas que cela serve les meilleurs intérêts de la Russie ou du Venezuela», a déclaré un responsable du département d’Etat, Tom Casey. Et il a ajouté : «Nous avons dit à plusieurs reprises au gouvernement russe que les achats d’armes envisagés par le Venezuela excèdent ses besoins de défense et n’aident pas à la stabilité régionale».
Des armes qui parlent d’avance
A son arrivée à Ijvesk, où le chef d’Etat vénézuélien doit rencontrer l’inventeur des fusils Kalachnikov, Hugo Chavez a commenté les propos du département d’Etat américain. «Je ne suis pas un agresseur et je ne suis pas venu chercher des armes pour une guerre de tous contre tous. Simplement, les armes dont dispose notre armée ont vieilli et ne sont plus fabriquées, c’est pourquoi nous devons les échanger pour des armes nouvelles et fiables».
Hugo Chavez est attendu mercredi soir à Moscou. Il y rencontrera Vladimir Poutine dans la journée de jeudi et signera le contrat pour l’achat des Sukhoï. Le ministre russe de la Défense n’a cependant pas attendu l’arrivée du président vénézuélien dans la capitale russe pour mettre son grain de sel dans les échanges verbaux entre Caracas et Washington. Sergueï Ivanov a déclaré que la Russie honorerait les contrats prévus avec le Venezuela concernant la livraison d’avions de chasse et d’hélicoptères. «Une révision des contrats est absolument exclue», a précisé le ministre russe.
Le leader de la nouvelle gauche sud-américaine continuera ensuite sa tournée avec une étape au Qatar. Hugo Chavez y rencontrera l’émir cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani. Bien que ce pays du Golfe soit un allié des Etats-Unis, Hugo Chavez entretient des relations régulières avec le Qatar. Les deux pays sont producteurs de pétrole et membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L’étape la plus importante sera sans aucun doute celle de l’Iran. Etant donné la crise autour du programme nucléaire iranien, il est probable que la visite à Téhéran d’Hugo Chavez exacerbera encore la tension entre les Etats-Unis d’un côté, l’Iran et le Venezuela de l’autre. Le chef de l’Etat vénézuélien ne fait pas mystère de son soutien au régime iranien. Par le passé, Chavez a menacé les Etats-Unis de leur couper le robinet du pétrole si l’administration Bush n’était pas plus souple avec Téhéran. Le Venezuela est le quatrième fournisseur de pétrole des Américains.
Hugo Chavez soutient également, en tant que leader révolutionnaire, le Hezbollah. Des déclarations fracassantes sur le parti islamiste, Israël, le Liban et les Etats-Unis sont certainement à attendre de cette étape en Iran.
http://www.orientalement.com/p447-contre-qui-l%92algerie-s%92arme-t-elle-.html
Contre qui l’Algérie s’arme-t-elle ?
Actuellement, l’armée algérienne compte 162 000 militaires. Dès 1999, l’Algérie s’est lancée dans une longue et coûteuse opération de modernisation de son armée. À l’époque, l’armée algérienne sortait d’une décennie d’embargo sur les armes et souffrait de l’inadaptation de son armement, d’origine soviétique. Sous couvert de la modernisation de son équipement en vue de la lutte anti-terroriste, le général Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée algérienne, commence alors à sillonner les quatre continents dans l’espoir de tisser de nouveaux liens de partenariat militaire avec de nouveaux fournisseurs. En parallèle, les premiers vendeurs d’armes français et américains partent à la conquête de ce marché prometteur. Forte de ses pétrodollars, l’Algérie s’engage sans retenue dans une véritable course à l’armement. Selon un rapport de Forecast International, une agence de consulting et de marketing en matière de défense et d’armement basée à Newton dans le Connecticut (Etats-Unis), l’Algérie dépensera plus de 2,3 milliards de dollars annuellement à l’horizon 2007 pour ses achats d’équipements militaires. En 2004, la loi algérienne des finances a consacré près de 2,8 milliards de dollars en guise de budget de fonctionnement du ministère de la Défense nationale, qui dépasse de loin le budget de l’éducation nationale. Actuellement, l’armée algérienne compte 162 000 militaires. 60% des effectifs de l'armée de terre sont des appelés. Dans l’armée de l’air et la marine, le pourcentage d’effectifs descend à 15%. Il n’empêche, cette armée dispose aujourd’hui d’un arsenal hallucinant. En 2004, l’armée de l’air algérienne a commandé à la Russie 50 Mig-29SMT. Le même contrat incluait selon une revue russe spécialisée, une option de 150 appareils du même type. En 2004 toujours, l’Algérie a fait la commande d’un lot important de Sukhoï-30 dans une version spécifique dénommée SU-30MKA. Elle aurait également commandé le YAK-130, un autre appareil russe. Grâce à ces achats, l'Algérie peut aujourd’hui déployer plus de 240 chasseurs et avions de reconnaissance, ainsi que150 hélicoptères de combat. L'Algérie possède en outre 12 lanceurs FROG-7 (65 km) avec 32 missiles et aurait engagé des négociations avec Ia Corée du Nord pour l'achat de missiles SCUD-C d'une portée de 600 km et des redoutables missiles No-Dong 1, d'une portée de 1000 km. De surcroît, l'Algérie serait le seul pays du Maghreb en mesure de fabriquer un jour l'arme nucléaire. Elle dispose, en effet, de deux réacteurs nucléaires. Celui qui suscite le plus d’inquiétudes est le réacteur construit en coopération avec la Chine à Aïn Oussera au sud d’Alger. Inauguré en 1993, il a une capacité de 15 MW qui pourrait être poussée à 40 MW. En parallèle, l’armée algérienne a procédé à la rénovation de son parc de chars et de blindés russes, T 54, T 74, ainsi qu’à une profonde refonte de ses procédures de fonctionnement. Se voulant rassurants, les responsables algériens n’ont eu de cesse d’expliquer cette course à l’armement par la volonté d’éradiquer le fléau terroriste, ainsi que par le souci de préserver l’intégrité territoriale du pays. Mais contre qui ?
CONTRE QUI LES USA !
la guerre préventive aa eu comme autre ******équence l'enrichissement non seulement des usa mais aussi de la russie le gran dpote des usa aujourd'hui et ennemi juré hier.
ce qu'ils ont fait à l'irak pourrait se reproduire dans 10 ou 15 ou 20 ans ailleurs là où il ya un intérets énergétique comme en algérie ou au vénézuéla.
mais çà çà passe comme un pet de nonne sur une toile cirée !
et dans 10 ans on nous dira "c'est qwa çà ?"
pas dire qu'on ne vous a rien dit !