C'est encore une fois de la pub pour le vatican, des spectacles , chants dans la star est issa(psl) est une opération encore une fois de marketing pour les églises qui manquent désespérement de fidéles!
Pourquoi "désespérément" ? Les gens primitifs ont un grand besoin de codification pour suivre leur religion (messes dominicales, carême, etc)
En évoluant, l'instinct grégaire devient moins prégnant, et personne - pas même les prêtres - ne pensent encore que la qualité religieuse d'un individu s'évalue au nombre de simagrées qu'il accomplit. Bien entendu, cette "liberté" est bien plus contraignante, puisqu'il ne s'agit plus de "faire", mais d'"être" ...
La suite du texte est un jeu de chercheur, qui n'a aucun incidence sur la foi des gens, et qui ne se prive pas de stupidité, comme celle-ci :
(est-ce un hasard si les grands textes "mythiques" de la Bible comme Gn 1-11, Gn 32, Job, Judith etc. ont si fréquemment inspiré peintres, poètes et écrivains ?).
Pendant plusieurs siècles, l'art n'a été que religieux. D'où l'obligatoire inspiration biblique, encore que ce thème ait surtout servi de prétexte à d'autres symboliques plus "paiennes". Ce n'est qu'à la renaissance que l'être humain, et les scènes de sa vie, deviennent sujets de créations artistiques.
il existerait donc bien une troisième voie possible qui serait une lecture "hétérologique" : lecture à la fois folklorique et théologique, autonome et hétéronome, athée et croyante. Un ouvrage de qualité pour qui s’intéresse aux approches plurielles de l’Ecriture.
Plus personne de sérieux ne prendrait la bible au pied de la lettre : l'ancien Testament a été mille fois déformé ; le Nouveau est un tri, vers l'an 360, effectué par l'Empereur Constantin, qui de la masse d'écrits n'a retenu que 4 évangélistes, et a fait ré-écrire le tout !
Mais telle qu'elle est connue elle est entrée dans notre cullture par ses paraboles, à l'instar des Fables de La Fontaine. Donc, elle intéresse aussi les athées.
Il est dommage que certains musulmans n'arrivent ni à prendre leurs distances vis à vis d'un texte déformé, ni à s'en détacher pour vivre une foi intérieure.