La hausse du prix est la pire idée que pouvait avoir l'OPEP, dans la mesure où elle pousse à se passer chaque année un peu plus du pétrole.
Les chiffres ci-dessous sont ceux du Ministère des Affaire Economiques, mais au niveau mondial, on note une diminution de 2 % par an de la demande depuis 5 ans. Or, ce phénomène va de toute évidence s'accéllérer.
Ce n'est pas par hasard que des pays intelligent, comme les Emirats, ont ré-investis un maximum en Occident, et ne comptent plus sur le pétrole que pour 3 % de leurs revenus.
une très forte baisse de la consommation des combustibles solides (-15,3%) imputable notamment à une diminution de la demande dans certains secteurs utilisateurs (industrie et sidérurgie) et à un important mouvement de déstockage induisant une baisse des importations;
une consommation de pétrole en forte diminution de 7,1%, résultant de la chute de la demande dans certains secteurs de la consommation finale (industrie, usages domestiques et non énergétiques);
une augmentation de l’apport de l'énergie nucléaire (+2,2%) en raison d'un taux de disponibilité plus élevé (88,6%) en 2002 qu’en 2001 (88,1%) des centrales nucléaires;
une hausse de la consommation primaire de gaz naturel (+1,5%) en raison de l’accroissement de la demande des centrales électriques (+9,0%) et de l’industrie (+9,0%). La demande du secteur résidentiel et équivalents (-3,8%) et celle des usages non énergétiques (-7,0%) enregistrent cependant une baisse assez nette;
Les chiffres ci-dessous sont ceux du Ministère des Affaire Economiques, mais au niveau mondial, on note une diminution de 2 % par an de la demande depuis 5 ans. Or, ce phénomène va de toute évidence s'accéllérer.
Ce n'est pas par hasard que des pays intelligent, comme les Emirats, ont ré-investis un maximum en Occident, et ne comptent plus sur le pétrole que pour 3 % de leurs revenus.
une très forte baisse de la consommation des combustibles solides (-15,3%) imputable notamment à une diminution de la demande dans certains secteurs utilisateurs (industrie et sidérurgie) et à un important mouvement de déstockage induisant une baisse des importations;
une consommation de pétrole en forte diminution de 7,1%, résultant de la chute de la demande dans certains secteurs de la consommation finale (industrie, usages domestiques et non énergétiques);
une augmentation de l’apport de l'énergie nucléaire (+2,2%) en raison d'un taux de disponibilité plus élevé (88,6%) en 2002 qu’en 2001 (88,1%) des centrales nucléaires;
une hausse de la consommation primaire de gaz naturel (+1,5%) en raison de l’accroissement de la demande des centrales électriques (+9,0%) et de l’industrie (+9,0%). La demande du secteur résidentiel et équivalents (-3,8%) et celle des usages non énergétiques (-7,0%) enregistrent cependant une baisse assez nette;