Qui a regardé cette émission sur des juifs en Israel qui temoignent à visage caché qu'ils...ne font pas shabbat , qu'ils...allument la téloche le samedi ...et qu'ils vont à la plage...j'ai bien dit à visage caché
Pork and milk (France, 2004, 52mn)
Réalisateur: Valerie Mrejen
Les témoignages d'Israéliens issus de familles ultraorthodoxes qui ont décidé de renoncer à la religion. Un film étonnant, réalisé par la plasticienne, vidéaste et écrivaine Valérie Mréjen.
Ils vivent à Tel-Aviv et sont issus de familles juives ultraorthodoxes. Ne supportant plus la vie religieuse et les règles rigoureuses de leur communauté - interdiction de manger du porc et des fruits de mer, de mélanger viandes et produits laitiers, de travailler, d'utiliser l'électricité, de faire la cuisine, parfois même d'avoir le moindre contact avec le monde extérieur pendant le shabbat -, ils ont décidé de renoncer à la religion. Dix personnes témoignent d'une expérience douloureuse, synonyme de rupture avec leur famille, de leurs doutes, de leurs mensonges, de leurs premiers pas dans le monde des laïcs...
INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES Liberté et châtiment
En choisissant de filmer ses protagonistes à distance et de mettre en scène leurs récits, Valérie Mréjen aborde en douceur un sujet difficile : le renoncement à la religion et aux règles de la communauté. Qu'ils se soient enfuis très jeunes de leur milieu, qu'ils continuent à faire semblant de pratiquer (au point de dissimuler leur visage dans le film) ou qu'ils aient pris conscience tardivement de leurs doutes, les hommes et les femmes rencontrés portent en eux un désir incompressible de liberté et une crainte persistante du châtiment. Chacun se souvient de ses premières envies de rébellion, de ses premiers manquements aux règles (faire du patin à roulettes, lire des journaux interdits, faire la fête le vendredi soir), chacun exprime la douleur provoquée notamment par la rupture avec la famille. Ce récit collectif devient une célébration de la transgression, qu'elle soit religieuse, familiale ou sociale, une ode à la liberté et à son difficile apprentissage. Aucun des dix protagonistes ne s'est jamais complètement débarrassé de sa peur et de sa culpabilité. À l'image de cette jeune fille qui, au moment d'amorcer une descente vertigineuse sur un manège, s'était écriée, pleine de repentir : "OK, je vais revenir à la religion !"
Pork and milk (France, 2004, 52mn)
Réalisateur: Valerie Mrejen
Les témoignages d'Israéliens issus de familles ultraorthodoxes qui ont décidé de renoncer à la religion. Un film étonnant, réalisé par la plasticienne, vidéaste et écrivaine Valérie Mréjen.
Ils vivent à Tel-Aviv et sont issus de familles juives ultraorthodoxes. Ne supportant plus la vie religieuse et les règles rigoureuses de leur communauté - interdiction de manger du porc et des fruits de mer, de mélanger viandes et produits laitiers, de travailler, d'utiliser l'électricité, de faire la cuisine, parfois même d'avoir le moindre contact avec le monde extérieur pendant le shabbat -, ils ont décidé de renoncer à la religion. Dix personnes témoignent d'une expérience douloureuse, synonyme de rupture avec leur famille, de leurs doutes, de leurs mensonges, de leurs premiers pas dans le monde des laïcs...
INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES Liberté et châtiment
En choisissant de filmer ses protagonistes à distance et de mettre en scène leurs récits, Valérie Mréjen aborde en douceur un sujet difficile : le renoncement à la religion et aux règles de la communauté. Qu'ils se soient enfuis très jeunes de leur milieu, qu'ils continuent à faire semblant de pratiquer (au point de dissimuler leur visage dans le film) ou qu'ils aient pris conscience tardivement de leurs doutes, les hommes et les femmes rencontrés portent en eux un désir incompressible de liberté et une crainte persistante du châtiment. Chacun se souvient de ses premières envies de rébellion, de ses premiers manquements aux règles (faire du patin à roulettes, lire des journaux interdits, faire la fête le vendredi soir), chacun exprime la douleur provoquée notamment par la rupture avec la famille. Ce récit collectif devient une célébration de la transgression, qu'elle soit religieuse, familiale ou sociale, une ode à la liberté et à son difficile apprentissage. Aucun des dix protagonistes ne s'est jamais complètement débarrassé de sa peur et de sa culpabilité. À l'image de cette jeune fille qui, au moment d'amorcer une descente vertigineuse sur un manège, s'était écriée, pleine de repentir : "OK, je vais revenir à la religion !"