La situation n'avait pas évolué ce mercredi, vers 11h00, pour les ressortissants iraniens de l'église des Minimes. Deux d'entres eux sont toujours en haut d'une grue d'un chantier situé place Poelaert, à Bruxelles, et menacent de sauter dans le vide depuis 07h00 du matin. Selon la police, 23 ressortissants iraniens se sont barricadés dans l'église des Minimes à Bruxelles et menaceraient de s'immoler. Ils disposeraient à l'intérieur de l'église de combustibles.
Par ailleurs, trois personnes ont été arrêtées administrativement par la police pour avoir franchi le périmètre de sécurité, a indiqué la police. Ce périmètre de sécurité a été dessé par la police de la zone de Bruxelles Ixelles dès 08h00. Les pompiers et les services de secours médicaux sont sur place. Une cinquantaine de policiers locaux sont mobilisés. Un renfort a été demandé à la Direction des Unités Spéciales (DSU) de la police fédérale.
Les négociateurs de la police fédérale tentent de dialoguer avec les ressortissants iraniens mais il y aurait peu de communication entre les occupants de l'église et les forces de l'ordre, selon la police. Des représentants de l'Office des étrangers se trouvent sur place. Les ressortissants iraniens souhaitent obtenir des garanties pour ne pas être expulsés vers leur pays et bénéficier de la protection subsidiaire.
http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr/det/art_294750.html?wt.bron=kanaalArt5
Par ailleurs, trois personnes ont été arrêtées administrativement par la police pour avoir franchi le périmètre de sécurité, a indiqué la police. Ce périmètre de sécurité a été dessé par la police de la zone de Bruxelles Ixelles dès 08h00. Les pompiers et les services de secours médicaux sont sur place. Une cinquantaine de policiers locaux sont mobilisés. Un renfort a été demandé à la Direction des Unités Spéciales (DSU) de la police fédérale.
Les négociateurs de la police fédérale tentent de dialoguer avec les ressortissants iraniens mais il y aurait peu de communication entre les occupants de l'église et les forces de l'ordre, selon la police. Des représentants de l'Office des étrangers se trouvent sur place. Les ressortissants iraniens souhaitent obtenir des garanties pour ne pas être expulsés vers leur pays et bénéficier de la protection subsidiaire.
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