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    Peut-on encore critiquer l'islam ?

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    RAME16


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    Peut-on encore critiquer l'islam ? Empty Peut-on encore critiquer l'islam ?

    Message  RAME16 Lun 7 Mai - 12:07

    Peut-on encore critiquer l'islam ?
    L'Europe des Lumières se sent menacée par les musulmans radicaux. Les intimidations islamistes entra înent de plus en plus de réactions d'autocensure. Le monde politique se montre généralement frileux. La liberté d'expression risque-t-elle d'être sacrifiée sur l'autel du multiculturalisme ? Un débat du Vif/L'Express.

    http://www.levif.be/CMArticles/ShowArticle.asp?articleID=1452&sectionID=2

    Décidément, les critiques à l'encontre de l'islam fusent d'un peu partout. Et provoquent à chaque fois de sérieux remous. L'émotion suscitée par l'analyse du pape Benoît XVI sur l'islam et la violence venait à peine de retomber que, le 19 septembre dernier, Robert Redeker, un professeur de philosophie toulousain, publiait un pamphlet dans les pages « Débats » du quotidien français Le Figaro . Ce philosophe proaméricain, connu pour ses diatribes excessives, y traite le prophète Mahomet de « chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame ».




    Manifestation antioccidentale à Amsterdam, après la publication des caricatures sur Mahomet.
    Au lendemain de la parution de ce brûlot, on pouvait lire ceci sur un forum Internet djihadiste : « Il est impossible que passe un jour sans qu'il ( NDLR : Redeker) soit puni par les lions de France. Ils doivent suivre ce qu'a fait le lion de Hollande, Mohammed al-Bouyeri. » Ce dernier, un Néerlandais d'origine marocaine de 26 ans, est l'homme qui a assassiné le cinéaste Theo Van Gogh, en novembre 2004... Depuis lors, Redeker vit caché, protégé par les hommes de la DST, les services secrets français.

    Et chaque jour, de nouveaux faits alimentent la polémique. Jack Straw, leader de la Chambre des communes britannique et ancien ministre de l'Intérieur et des Affaires étrangères de Tony Blair, vient de déclarer à la radio qu'il préférerait que les femmes musulmanes ne portent pas le voile. Il a ainsi brisé le tabou du multiculturalisme à la britannique, déjà sérieusement ébranlé, l'an dernier, par les attentats de Londres.



    Au Danemark, un livre titré Islamistes et naïvistes rencontre un grand succès en librairie. Il compare l'islamisme au nazisme et fustige tous ceux qui, par peur des réactions des musulmans, refusent de critiquer les « barbus ». Une vidéo, réalisée par des membres d'un parti d'extrême droite danois, présentant Mahomet en chameau buveur de bière et montrant un terroriste ivre attaquant Copenhague, circule actuellement sur l'Internet.



    Ces réactions excessives à la critique de l'islam n'inaugurent pas un phénomène nouveau : l'affaire Salman Rushdie date, rappelons-le, de 1989. Mais, depuis l'invasion américaine en Irak, ces crises prennent un tour de plus en plus systématique et irrationnel, alimentant les réactions antioccidentales, d'un côté, et islamophobes, de l'autre. Comme si le « choc des civilisations » - cette thèse popularisée par le conservateur américain Samuel Huntington, en 1998, qui a connu un regain d'intérêt au lendemain des attentats du 11-Septembre - était en train de faire insidieusement son nid dans les esprits.



    Peut-on critiquer l'islam ? Les spectaculaires manifestations antioccidentales après la publication des caricatures danoises sur le prophète Mahomet, en février dernier, ainsi que les excuses officiellement réclamées au pape, après sa conférence théologique de Ratisbonne, en Bavière, semblent montrer le contraire. Mais existe-t-il un islam et un Occident, qui se feraient face ? L'ancien grand mufti de Marseille Soheib Bencheikh (lire p. 42) a réagi bien plus rationnellement aux caricatures danoises : « Une religion sûre d'elle-même, convaincue de sa solidité, ne peut fuir les critiques et les mises en cause », a- t-il dit. Evoquant les menaces lancées contre Robert Redeker, le consensuel président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, a affirmé que les fatwas émanaient de radicaux dont il ne faut pas faire le jeu. Le journaliste algérien Ahmed Halli écrivait récemment, dans la page « Débats » de La Libre Belgique , que « ayant abdiqué depuis longtemps toute tentation de scruter le fond de nos problèmes, il est normal que nous ne supportions plus le regard des autres ». Chez nous, des intellectuels de culture musulmane défendent ardemment la libre-pensée. Les musulmans, on l'oublie parfois, ne parlent pas tous d'une même voix...



    On ne peut, pour autant, minimiser l'intimidation islamiste. Car celle-ci suscite des réactions d'autocensure de la part des gouvernants, des médias, des éditeurs, des enseignants et des artistes occidentaux. Un responsable du Figaro ne s'est-il pas répandu en excuses, sur la chaîne qatari Al-Jazira, après la publication dans son journal du pamphlet de Redeker ? Et que penser des propos tétanisés de nombreux responsables européens, au plus fort de l'« affaire » des caricatures danoises ? Pis : l'Opéra de Berlin a récemment annulé, de sa propre initiative, les représentations d' Idoménée de Mozart. Et ce, en raison d'une scène où le roi de Crète déposait, sur des chaises, les têtes de Jésus, de Bouddha et de... Mahomet. L'Europe de Voltaire en prend un sacré coup !



    Résultat : certains conservateurs européens montent de plus en plus au créneau pour regretter la faiblesse de l'Europe « des Lumières » face aux intimidations de l'islam « obscurantiste ». Aux yeux de ces conservateurs - rejoints d'ailleurs par certains anciens de la gauche regrettant la « faillite » du multiculturalisme - la tolérance est allée trop loin.



    Le silence gêné des politiques
    En Belgique aussi, certains analystes pourfendent la grande réserve qu'observent les responsables politiques sur tous les sujets sensibles. Par exemple, chaque fois que le débat sur le port du foulard ou du voile à l'école revient dans l'actualité, le monde politique s'empresse de reposer le couvercle sur la casserole. Marie Arena (PS), ministre- présidente de la Communauté française, en charge de l'Enseignement obligatoire, s'est prononcée en faveur de la liberté des pouvoirs organisateurs des écoles : une façon de ne pas décider et de renvoyer les acteurs du terrain à leurs responsabilités et... à leur solitude. D'autre part, chaque fois que Christian Dupont (PS), ministre communautaire chargé de l'Intégration sociale et de l'Egalité des chances, tente d'ouvrir l'un ou l'autre chantier lié à l'intégration ou à la multiculturalité, ses partenaires socialistes l'abandonnent prudemment à son sort et à ses projets. Arena et Dupont, encore eux, ont, plusieurs fois, essayé de s'emparer des intéressantes conclusions du rapport final de la Commission du dialogue interculturel, rédigées en mai 2005, afin de nourrir un débat riche et nuancé sur les questions de l'intégration. En vain : ils n'ont jamais trouvé le moindre relais.



    Pourquoi cette obsession de la discrétion, dans les rangs politiques ? D'abord, parce que le contexte national se prête mal à des positions tranchées, notamment sur le port du voile : la Belgique cultive une tradition de cohabitation entre groupes de sensibilité différente, et de dialogue avec les représentants des religions. Une autre raison, plus pragmatique encore, pousse les partis démocratiques à se tenir prudemment à l'écart de tout sujet susceptible de fâcher l'une ou l'autre communauté religieuse et culturelle : l'évolution du paysage sociologique de plusieurs communes, en particulier à Bruxelles. Soucieuses de séduire les Belges d'origine étrangère et les nouveaux électeurs non européens, les formations politiques ont ouvert leurs listes pour les élections communales à de nombreux candidats d'origine allochtone. Et tous, malheureusement, n'ont pas été choisis en fonction de leur compétence. Comble du communautarisme : on a vu à plusieurs reprises se succéder, sur une même liste électorale, un candidat ouvertement proisraélien et un « représentant » de la communauté musulmane...



    Cependant, tout débat n'est pas bon à prendre : rien ne sert d'encourager une atmosphère de stigmatisation et de suspicion à l'égard d'une population déjà très fragilisée. Et, a priori, l'intégration de toutes les composantes de la population dans le processus électoral démocratique est une excellente chose. Le problème survient lorsque, pour « ratisser large », une formation politique renie ses priorités et flatte un certain nombre de valeurs qui vont à l'encontre de celles qu'il défend traditionnellement. En occultant tous les sujets « délicats », on ne se donne pas les moyens d'avancer sur des questions aussi essentielles que l'émancipation des femmes ou la liberté d'expression. Et cela, c'est dangereux pour la démocratie. Il ne faudrait pas que la Belgique et les autres pays occidentaux renient leurs Lumières...



    Cela dit, les surenchères ne font rien d'autre que condamner les mondes musulman et occidental à un affrontement perpétuel. L'écrivain tunisien Abdelwahab Meddeb montre sans doute la voie en insistant sur la possibilité d'une rencontre. « Il y a un travail à faire pour que l'islam chasse ses propres démons, déclare-t-il dans le dernier numéro de Philosophie magazine . Et pour ce faire, la référence occidentale peut être précieuse (...). Ceux qui sont dans la logique de l'identité - islamiste ou européaniste - ne comprennent pas cet entre-deux-cultures. » Et si, plutôt qu'à un choc des civilisations, nous assistions à un choc des ignorances ?



    Retrouvez l'intégralité de l'article dans la version papier.

    Thierry Denoël et Isabelle Philippon



    12 octobre 2006
    Krill
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    Peut-on encore critiquer l'islam ? Empty Re: Peut-on encore critiquer l'islam ?

    Message  Krill Mar 8 Mai - 1:45

    je trouve ce texte gloubiboulga...
    le pire de ce qui se fait en matière de journalisme ! What a Face

    Peut-on encore critiquer l'islam ?L'Europe des Lumières se sent menacée par les musulmans radicaux. Les intimidations islamistes entra înent de plus en plus de réactions d'autocensure. Le monde politique se montre généralement frileux.La liberté d'expression risque-t-elle d'être sacrifiée sur l'autel du multiculturalisme ? Un débat du Vif/L'Express.
    l'islam ou l'islam radical ?
    les musulmans ou une frange radical de musulmans (minoritaires et très activement toxiques) !
    Il faudrait aussi démontrer cette intimidation > pétition de principe

    Décidément, les critiques à l'encontre de l'islam fusent d'un peu partout.
    alors on peut ou on peut pas ???
    voir quelques lignes plus haut :
    Peut-on encore critiquer l'islam ?

    Et provoquent à chaque fois de sérieux remous. L'émotion suscitée par l'analyse du pape Benoît XVI sur l'islam et la violence venait à peine de retomber que, le 19 septembre dernier, Robert Redeker, un professeur de philosophie toulousain, publiait un pamphlet dans les pages « Débats » du quotidien français Le Figaro . Ce philosophe proaméricain, connu pour ses diatribes excessives, y traite le prophète Mahomet de « chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame ».
    ... et les fanatiques islamistes ont répliqué... on sait

    Manifestation antioccidentale à Amsterdam, après la publication des caricatures sur Mahomet.
    Au lendemain de la parution de ce brûlot, on pouvait lire ceci sur un forum Internet djihadiste : « Il est impossible que passe un jour sans qu'il ( NDLR : Redeker) soit puni par les lions de France. Ils doivent suivre ce qu'a fait le lion de Hollande, Mohammed al-Bouyeri. » Ce dernier, un Néerlandais d'origine marocaine de 26 ans, est l'homme qui a assassiné le cinéaste Theo Van Gogh, en novembre 2004... Depuis lors, Redeker vit caché, protégé par les hommes de la DST, les services secrets français.
    ... les djihadistes aussi... bien excités du bocal... on sait !

    Et chaque jour, de nouveaux faits alimentent la polémique. Jack Straw, leader de la Chambre des communes britannique et ancien ministre de l'Intérieur et des Affaires étrangères de Tony Blair, vient de déclarer à la radio qu'il préférerait que les femmes musulmanes ne portent pas le voile. Il a ainsi brisé le tabou du multiculturalisme à la britannique, déjà sérieusement ébranlé, l'an dernier, par les attentats de Londres.

    notez le "chaque jour"... plusieurs fois par jours aurait été plus percutant...
    menacé de mort le Jack?
    c'est au même niveau tout ça ???

    Au Danemark, un livre titré Islamistes et naïvistes rencontre un grand succès en librairie. Il compare l'islamisme au nazisme et fustige tous ceux qui, par peur des réactions des musulmans, refusent de critiquer les « barbus ». Une vidéo, réalisée par des membres d'un parti d'extrême droite danois, présentant Mahomet en chameau buveur de bière et montrant un terroriste ivre attaquant Copenhague, circule actuellement sur l'Internet.
    vi, des affreux jojo avec la boule à zéro ne peuvent plus cracher leur haine librement.... c'est cdv qui enrage !

    Ces réactions excessives à la critique de l'islam n'inaugurent pas un phénomène nouveau : l'affaire Salman Rushdie date, rappelons-le, de 1989. Mais, depuis l'invasion américaine en Irak, ces crises prennent un tour de plus en plus systématique et irrationnel, alimentant les réactions antioccidentales, d'un côté, et islamophobes, de l'autre. Comme si le « choc des civilisations » - cette thèse popularisée par le conservateur américain Samuel Huntington, en 1998, qui a connu un regain d'intérêt au lendemain des attentats du 11-Septembre - était en train de faire insidieusement son nid dans les esprits.
    ziva que j'te mélange tout et j'amalgame...
    Sleep

    Peut-on critiquer l'islam ? Les spectaculaires manifestations antioccidentales après la publication des caricatures danoises sur le prophète Mahomet, en février dernier, ainsi que les excuses officiellement réclamées au pape, après sa conférence théologique de Ratisbonne, en Bavière, semblent montrer le contraire.
    ce ne sont pas les caricatures danoises mais celles rajoutées par des pignoufs islamistes !

    Mais existe-t-il un islam et un Occident, qui se feraient face ?
    ça veut rien dire...

    L'ancien grand mufti de Marseille Soheib Bencheikh (lire p. 42) a réagi bien plus rationnellement aux caricatures danoises : « Une religion sûre d'elle-même, convaincue de sa solidité, ne peut fuir les critiques et les mises en cause », a- t-il dit. Evoquant les menaces lancées contre Robert Redeker, le consensuel président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, a affirmé que les fatwas émanaient de radicaux dont il ne faut pas faire le jeu. Le journaliste algérien Ahmed Halli écrivait récemment, dans la page « Débats » de La Libre Belgique , que « ayant abdiqué depuis longtemps toute tentation de scruter le fond de nos problèmes, il est normal que nous ne supportions plus le regard des autres ». Chez nous, des intellectuels de culture musulmane défendent ardemment la libre-pensée. Les musulmans, on l'oublie parfois, ne parlent pas tous d'une même voix...

    oui, il y a "des" musulmans bien !
    et ?

    On ne peut, pour autant, minimiser l'intimidation islamiste. Car celle-ci suscite des réactions d'autocensure de la part des gouvernants, des médias, des éditeurs, des enseignants et des artistes occidentaux. Un responsable du Figaro ne s'est-il pas répandu en excuses, sur la chaîne qatari Al-Jazira, après la publication dans son journal du pamphlet de Redeker ? Et que penser des propos tétanisés de nombreux responsables européens, au plus fort de l'« affaire » des caricatures danoises ? Pis : l'Opéra de Berlin a récemment annulé, de sa propre initiative, les représentations d' Idoménée de Mozart. Et ce, en raison d'une scène où le roi de Crète déposait, sur des chaises, les têtes de Jésus, de Bouddha et de... Mahomet. L'Europe de Voltaire en prend un sacré coup !
    et pan sur le pif de Ramadan...
    notre Voltaire à nous attaqué par les intégristes... trop bien ça !

    Résultat : certains conservateurs européens montent de plus en plus au créneau pour regretter la faiblesse de l'Europe « des Lumières » face aux intimidations de l'islam « obscurantiste ». Aux yeux de ces conservateurs - rejoints d'ailleurs par certains anciens de la gauche regrettant la « faillite » du multiculturalisme - la tolérance est allée trop loin.
    "conservateurs" est un peu faible !

    etc. etc. etc.

    le vif késako ?
    ... sur occidentalis ils sont moins timorés !

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    Message  MP Mar 8 Mai - 10:30

    l'islam ou l'islam radical ?
    les musulmans ou une frange radical de musulmans (minoritaires et très activement toxiques) !

    Ta remarque est intellectuellement fondée, mais cède un peu devant la réalité sociologique : quand l'Occident critique l'Islam radical (comme dans le cas de ces bénignes caricatures), ce sont tous les musulmans ou presque qui se sentent injuriés ...
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    Message  fran6 Mar 8 Mai - 10:55

    MP a écrit:
    l'islam ou l'islam radical ?
    les musulmans ou une frange radical de musulmans (minoritaires et très activement toxiques) !

    Ta remarque est intellectuellement fondée, mais cède un peu devant la réalité sociologique : quand l'Occident critique l'Islam radical (comme dans le cas de ces bénignes caricatures), ce sont tous les musulmans ou presque qui se sentent injuriés ...

    scratch Ouiiiiiii c'est vrai on a vu plus d'un milliard de personnes descendre dans les rues pour manifester leur colère.... Rolling Eyes
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    Peut-on encore critiquer l'islam ? Empty Re: Peut-on encore critiquer l'islam ?

    Message  RAME16 Mar 8 Mai - 11:25

    ce n'est qu'un epartie d'un long dossier que j'ai en ma possession.

    monseigneur daneels lui a écrit des choses interessantes.

    il dit que l'europe refuse un islam monolithique, que cet islam là celui dont tout le monde a peur, refuse et rejette le patchwork intellectuel.

    par exemple, en europe aujourd'hui, on peut être chrtéien, aimer le rap, être passionné de littérature russe, et lire le coran.

    ce qui est impossible avec cet islam monolithique.

    d'autres intervenants parlaient non d'un choc des civilisations mais d'un choc des ignorances.

    un autre historien legoff jepense dit que le crhistianisme s'est forgé son identité grâce à l'islam.
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    Message  Trinita Mar 8 Mai - 13:40

    un autre historien legoff jepense dit que le crhistianisme s'est forgé son identité grâce à l'islam.

    Et inversement.. study
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    Message  RAME16 Mar 8 Mai - 13:45

    non pas inversement

    à l'époque le monde musulman était bien plus avancé que l'occident.
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    Message  Trinita Mar 8 Mai - 15:55

    RAME16 a écrit:non pas inversement

    à l'époque le monde musulman était bien plus avancé que l'occident.

    sans christianisme pas d'Islam.et sans islam après les premiers contacts et conquêtes le chrétienté ne serait pas telle que nous la connaissons.les deux font logiquement partie du Grand Dessein s'il y en a un..

    tu ne peux retrancher les sourates évoquant les chrétiens du coran..ils font partie intégrante de l'identité islamique, ou alors il faut dénoncer ces sourates..
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    Message  RAME16 Mar 8 Mai - 16:05

    il y a deux choses trinita.

    le coran pui sle monde chrétien d'occident.

    des chrétiens ils y en avait en arabie comme des juifs.

    je parle du monde chrétien d'occident.

    quand l'islam a émergé, le monde chrtéien ne le savait pas. les chrtiénes avant pensaient que le monde arabe n'avait pas de religion ou de prophète.

    le monde chrétien n'était pas organisé comme le monde musulman.


    c'est à partir des contacts guerrier et enrichissant que le monde chrétien s'est forgé son identité.

    d'un coté les croisades et de l'autre l'andalousie.

    c'ets un paradoxe et une relatio spéciale.

    les croisades elles mêmes ont servies à éteindre le chiisme chrétien en le reportant sur les musulmans.

    au départ les chrétiens nous appelaient les mahométistes, puis les mahométans et enfin les musulmans.

    çà a pris des siècles.

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