Les EU refusent d'aider les PVD à sauver leur environnement
Le représentant des Etats-Unis pour l'Environnement, Stephen L. Johnson, a déclaré que les Etats-unis ne voulaient pas développer des instruments financiers pour aider les pays pauvres à protéger leur environnement.
Le représentant des Etats-Unis pour l'Environnement, Stephen L. Johnson, a refusé de s'engager à "développer des instruments financiers" pour aider les pays en développement à protéger leur environnement, a déclaré samedi son homologue allemand Sigmar Gabriel.
Maillon faible
"Les Etats-Unis ont été le seul pays à réfuter" le point concernant l'obligation des pays industrialisés de contribuer aux efforts des pays en développement pour protéger l'environnement, et en particulier leurs forêts tropicales, a souligné M. Gabriel au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet du G8 +5 environnement à Potsdam, près de Berlin.
Pays industrialisés coupables
"Nous trouvons cela regrettable", mais "je crois que sur la durée, cette position ne pourra pas se maintenir, car je sais qu'il existe un grand intérêt aux Etats-Unis pour la survie des forêts tropicales", a-t-il ajouté. A l'exception des Etats-Unis, représentés par le directeur de l'Agence fédérale de protection de l'Environnement, les participants "étaient d'accord sur le fait qu'une partie du réchauffement climatique est irréversible et que les pays industrialisés sont responsables du changement climatique actuel", a affirmé M. Gabriel.
Déforestation
Ils ont estimé que les pays industrialisés devaient "prendre des mesures et développer des instruments financiers pour la gestion des conséquences dévastatrices dans les pays en développement", a résumé le ministre, dont le pays assure la présidence annuelle du G8 et de l'Union européenne au premier semestre 2007. La déforestation est responsable à hauteur de 20 % de la présence de CO2 dans l'atmosphère.
Accord
Les ministres de l'Environnement du G8 (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Etats-Unis, Japon, Canada, Russie), de Chine, d'Inde, du Brésil, du Mexique et d'Afrique du Sud se sont entendus samedi sur les grandes lignes d'une stratégie de lutte contre le réchauffement climatique, qui n'a pas valeur d'accord.
http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr/det/art_408345.html?wt.bron=homeHVDN
Le représentant des Etats-Unis pour l'Environnement, Stephen L. Johnson, a déclaré que les Etats-unis ne voulaient pas développer des instruments financiers pour aider les pays pauvres à protéger leur environnement.
Le représentant des Etats-Unis pour l'Environnement, Stephen L. Johnson, a refusé de s'engager à "développer des instruments financiers" pour aider les pays en développement à protéger leur environnement, a déclaré samedi son homologue allemand Sigmar Gabriel.
Maillon faible
"Les Etats-Unis ont été le seul pays à réfuter" le point concernant l'obligation des pays industrialisés de contribuer aux efforts des pays en développement pour protéger l'environnement, et en particulier leurs forêts tropicales, a souligné M. Gabriel au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet du G8 +5 environnement à Potsdam, près de Berlin.
Pays industrialisés coupables
"Nous trouvons cela regrettable", mais "je crois que sur la durée, cette position ne pourra pas se maintenir, car je sais qu'il existe un grand intérêt aux Etats-Unis pour la survie des forêts tropicales", a-t-il ajouté. A l'exception des Etats-Unis, représentés par le directeur de l'Agence fédérale de protection de l'Environnement, les participants "étaient d'accord sur le fait qu'une partie du réchauffement climatique est irréversible et que les pays industrialisés sont responsables du changement climatique actuel", a affirmé M. Gabriel.
Déforestation
Ils ont estimé que les pays industrialisés devaient "prendre des mesures et développer des instruments financiers pour la gestion des conséquences dévastatrices dans les pays en développement", a résumé le ministre, dont le pays assure la présidence annuelle du G8 et de l'Union européenne au premier semestre 2007. La déforestation est responsable à hauteur de 20 % de la présence de CO2 dans l'atmosphère.
Accord
Les ministres de l'Environnement du G8 (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Etats-Unis, Japon, Canada, Russie), de Chine, d'Inde, du Brésil, du Mexique et d'Afrique du Sud se sont entendus samedi sur les grandes lignes d'une stratégie de lutte contre le réchauffement climatique, qui n'a pas valeur d'accord.
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