Enseignement : favoriser le libre choix
La ministre de l'Enseignement, Marie Arena, veut renforcer les dispositifs de remédiation dans le premier degré de l'enseignement secondaire. Objectif : permettre à un maximum de jeunes d'acquérir à 14 ans les connaissances de base qui leur permettront de choisir librement leur orientation scolaire future, plutôt que d'être relégués dans des filières qu’ils n’ont pas choisies.
2 fév 2007 17:06
Près de 14% des élèves qui entrent dans le secondaire sont aujourd'hui en classe d'accueil. Une partie d'entre eux n'ont pas leur certificat d'étude de base, le diplôme de l'enseignement primaire. Ils se trouvent alors relégués vers des filières techniques et professionnelles, sans que ce soit leur choix. La ministre veut casser ces orientations négatives précoces. Elle entend élargir les dispositifs de remédiation afin de les amener à acquérir à 14 ans les compétences qu'ils doivent maîtriser à cet age, et leur donner ainsi toutes les chances de pouvoir faire des choix positifs, plutôt que de rester bloqués prématurément dans certaines filières.
A côté des années complémentaires qui sont maintenues, les écoles pourront donc aussi organiser des classes différenciées, pour ces élèves, pour lesquels l'encadrement sera doublé. Après un an, ou deux, ils pourront alors, en cas de réussite réintégrer le parcours commun. Une mesure qui n'est pas obligatoire pour les écoles, mais qui donnera droit à un encadrement plus important ce qui, espère la ministre devrait, servir d'incitant.
http://www.rtbf.be/info/belgique/ARTICLE_068216
La ministre de l'Enseignement, Marie Arena, veut renforcer les dispositifs de remédiation dans le premier degré de l'enseignement secondaire. Objectif : permettre à un maximum de jeunes d'acquérir à 14 ans les connaissances de base qui leur permettront de choisir librement leur orientation scolaire future, plutôt que d'être relégués dans des filières qu’ils n’ont pas choisies.
2 fév 2007 17:06
Près de 14% des élèves qui entrent dans le secondaire sont aujourd'hui en classe d'accueil. Une partie d'entre eux n'ont pas leur certificat d'étude de base, le diplôme de l'enseignement primaire. Ils se trouvent alors relégués vers des filières techniques et professionnelles, sans que ce soit leur choix. La ministre veut casser ces orientations négatives précoces. Elle entend élargir les dispositifs de remédiation afin de les amener à acquérir à 14 ans les compétences qu'ils doivent maîtriser à cet age, et leur donner ainsi toutes les chances de pouvoir faire des choix positifs, plutôt que de rester bloqués prématurément dans certaines filières.
A côté des années complémentaires qui sont maintenues, les écoles pourront donc aussi organiser des classes différenciées, pour ces élèves, pour lesquels l'encadrement sera doublé. Après un an, ou deux, ils pourront alors, en cas de réussite réintégrer le parcours commun. Une mesure qui n'est pas obligatoire pour les écoles, mais qui donnera droit à un encadrement plus important ce qui, espère la ministre devrait, servir d'incitant.
http://www.rtbf.be/info/belgique/ARTICLE_068216