USA
Bush au Congrès : Nous devons travailler ensemble !
mercredi 24 janvier 2007, par radinrue.com
Le discours de Georges Bush vient de s’achever il y a dix minutes. Cravate bleus ciel, veste bleu marine, pins au drapeau américain, le président américain semblait détendu, mais il a su rester grave, et même si durant son discours sur l’écologie et la diminution de la pollution il était applaudi par tous les membres du congrès toutes les 2 – 3 minutes, ils furent légèrement moins nombreux à se lever lorsqu’il ouvrit le dossier de l’Irak.
www.radinrue.com de Washington, 24.01.2007 05:02
Devant les démocrates, assez réticent à la guerre impopulaire en Irak, le président américain à su présenter son programme avec finesse. Il les a invités à travailler avec lui, « à faire de grandes choses pour le peuple américain ». Le Président Bush a invité des législateurs à travailler avec lui "réaliser de grandes choses pour les américains," "nos citoyens n’aurons pas de soins si ils restent sur le bas-côté nous avons du travail à faire,". "Notre travail doit rendre la vie meilleure pour nos camarades américains, et les aider à établir un futur plein d’espoir et d’occasion de réussite." Le président annonça dans son discours de 50 minutes qui a débuté à 21h00 locales, un plan de secours pour la santé, une alternative énergétique, une baisse de consommation pour les camionnettes et les véhicules 4x4 qui rentrent dans le cadre de ses propositions environnementales.
Bush a souligné qu’il veut équilibrer le budget fédéral sans pour autant augmenter les impôts. "les semaines à venir , je soumettrai un budget qui éliminera le déficit fédéral dans les cinq années à venir."
Bush a également dit qu’il veut éliminer les marques attachées à la législation, qui en 2005 ont représenté $18 milliards en argent au contribuable.
Le carburant : Les ETATS-UNIS devrait réduire la consommation d’essence de 20 pour cent en 10 ans, a-t-il dit. Le plan du président inclut une consolidation des normes d’économie de carburant en les imposants aux constructeurs d’automobiles et produisant 35 milliards de gallons de carburant renouvelable tels que l’éthanol d’ici 2017.
« Depuis trop longtemps notre nation a dépendu de l’essence étrangère. Et cette dépendance nous laisse plus vulnérables aux régimes hostiles, et aux terroristes — qui pourraient causer des ruptures énormes en augmentant les tarifs du baril... le prix du carburant... et faire ainsi un grand mal à notre économie, " A-t-il dit, fortement applaudis par l’ensemble des représentants. "Il est de notre intérêt, et c’est essentiel, de diversifier l’approvisionnement en énergie de l’Amérique – et nous devons d’abord le faire par la technologie." Bush a répété son appel pour que le congrès lui donne la possibilité de fixer les normes moyennes de carburant-économie pour des voitures de tourisme, comme son administration fait maintenant pour les camions légers. Le niveau courant de 27.5 milles par gallon (baril) a été pour la dernière fois augmenté en 1990. Le président américain a demandé comme prévu ( voir notre article : « L’avant » congrès de Bush ) au congrès les pouvoirs nécessaires pour installer une énergie plus vertes que précédemment. En 2003, Bush a proposé $1.2 milliards dans la nouvelle dépense sur la recherche de carburant d’hydrogène et a offert une augmentation de 22 pour cent en argent alternatif de recherches de carburant en 2006. Mais en 2004, l’agence de protection de l’environnement a concédé que les émissions ont fortement augmentées au cours des deux ans, alors que Bush voulait les diminuer de 18 pour cent sur 10 ans. L’EPA a blâmé l’augmentation sur une plus grande croissance économique.
Une ’plus grande lutte ’contre le terrorisme, c’est ainsi que le président a présenté le dossier irakien. Il a en outre évoqué le 11 septembre 2001 à plusieurs reprises. Le président a averti le Congrès ainsi que toute la nation que les conséquences d’un l’échec de la guerre qui dure depuis presque quatre années "seraient pénibles et importantes."
Mais le président ne sait pas trop étendu sur l’Irak, Bush avait en effet déjà dréssé un court bilan il y a deux semaines, lorsqu’il avait annoncé l’envoi de 21500 militaires supplémentaires, il à ainsi dit : « Les commandants militaires avec moi, (avons) soigneusement pesé les options. Nous avons discuté chaque approche possible. En fin de compte, j’ai choisi cette ligne de conduite parce qu’elle fournit la meilleure chance de succès". "Beaucoup dans cette chambre comprennent que l’Amérique ne doit pas échouer en Irak — parce que vous comprenez que les conséquences de l’échec seraient pénibles et importantes." Bush a noté des succès dans la guerre en Irak, en énumérant quelques faits d’armes de la coalition, et quelques attaques terroristes déjouées, comme par exemple : l’Anthrax… "La sixième année après que notre nation fut attaquée, je souhaite pouvoir vous rapporter que les dangers sont fini. » Puis de poursuivre : « la guerre sur la terreur que nous combattons est aujourd’hui une lutte de générations qui continuera longtemps après vous et j’ai transmis nos fonctions à d’autres. C’est pourquoi il est important de travailler ensemble ainsi notre nation peut voir ce grand effort de par ce travail commun." Le sénateur de Virginie Jim Webb, démocrate, qui donnera la réponse des démocrates à l’adresse de Bush, a dit lors d’une réunion mardi après-midi, avant le discours de Bush, que l’administration n’a aucun plan qui a "un point final... où les militaires américains seront outre des rues d’un Irak en proie au chaos." "la difficulté que bon nombre d’entre nous ont eue pendant longtemps est qu’il n’y a pas un plan clairement compréhensible de l’administration," A dit Webb. Les démocrates ont choisi Webb pour fournir la réponse en partie parce qu’il est un vétéran du Vietnam, mais pour lui tout ce plan semble « hasardeux », en réalité il n’y a aucune stratégie précise en Irak.
Le doyen de Howard Président du parti démocratique a dit mardi après-midi que Bush "aurait dû penser aux conséquences de l’échec avant d’entrer en l’Irak." "Nous devons achever cette mésaventure irakienne," a déclaré le doyen aux journalistes. "Nous devons arrêter cette guerre soigneusement et pensivement — nous ne pouvons pas apporter aux troupes leur maison immédiatement — mais nous devons aller dans la direction opposée de celle vers laquelle le président veut amener le pays".
Un système de santé plus sain – Le président bush à repris son idée du weekend dernier, une retenue d’impôts proposée jusqu’à $15.000 dans les primes d’assurance médicale maladie, couplée à une pénalité fiscale pour l’excédent de primes qui s’élèvent. Mais l’idée de Bush interroge déjà, en effet beaucoup se demandent comment le plan — qui transformerait des prestations-maladie en revenu imposable — prolongerait l’assurance aux dizaines de millions de personnes sans assurance maladie actuelelment. "elles ont déjà des problèmes. "Le président va devoir l’expliquer parfaitement." A précisé le porte-parole de la Maison Blanche qui a indiqué que la volonté de ce plan et d’entraîner une réduction des coûts pour 100 millions d’Américains environ. Bush a également saisi l’occasion de présenter son idée d’un programme provisoire d’accueil et de traitement de ceux qui veulent venir en Amérique "sans animosité et sans amnistie." "Nous devrions établir un cursus, un chemin ordonné et légal pour que les ouvriers étrangers entrent dans notre pays pour y travailler sur une base provisoire" a-t-il expliqué. Pour Bush se programme empêcherait des traversées de frontières illégales et permettrait d’utiliser les "agents des frontières, plus disponibles pour arrêter les contrebandiers de drogue, et les criminels, et les terroristes," a expliqué le président Bush.
De Washington pour Radin Rue, Charles Vallert. 24 janvier 2007 04 :58
http://www.radinrue.com/spip.php?article359
Bush au Congrès : Nous devons travailler ensemble !
mercredi 24 janvier 2007, par radinrue.com
Le discours de Georges Bush vient de s’achever il y a dix minutes. Cravate bleus ciel, veste bleu marine, pins au drapeau américain, le président américain semblait détendu, mais il a su rester grave, et même si durant son discours sur l’écologie et la diminution de la pollution il était applaudi par tous les membres du congrès toutes les 2 – 3 minutes, ils furent légèrement moins nombreux à se lever lorsqu’il ouvrit le dossier de l’Irak.
www.radinrue.com de Washington, 24.01.2007 05:02
Devant les démocrates, assez réticent à la guerre impopulaire en Irak, le président américain à su présenter son programme avec finesse. Il les a invités à travailler avec lui, « à faire de grandes choses pour le peuple américain ». Le Président Bush a invité des législateurs à travailler avec lui "réaliser de grandes choses pour les américains," "nos citoyens n’aurons pas de soins si ils restent sur le bas-côté nous avons du travail à faire,". "Notre travail doit rendre la vie meilleure pour nos camarades américains, et les aider à établir un futur plein d’espoir et d’occasion de réussite." Le président annonça dans son discours de 50 minutes qui a débuté à 21h00 locales, un plan de secours pour la santé, une alternative énergétique, une baisse de consommation pour les camionnettes et les véhicules 4x4 qui rentrent dans le cadre de ses propositions environnementales.
Bush a souligné qu’il veut équilibrer le budget fédéral sans pour autant augmenter les impôts. "les semaines à venir , je soumettrai un budget qui éliminera le déficit fédéral dans les cinq années à venir."
Bush a également dit qu’il veut éliminer les marques attachées à la législation, qui en 2005 ont représenté $18 milliards en argent au contribuable.
Le carburant : Les ETATS-UNIS devrait réduire la consommation d’essence de 20 pour cent en 10 ans, a-t-il dit. Le plan du président inclut une consolidation des normes d’économie de carburant en les imposants aux constructeurs d’automobiles et produisant 35 milliards de gallons de carburant renouvelable tels que l’éthanol d’ici 2017.
« Depuis trop longtemps notre nation a dépendu de l’essence étrangère. Et cette dépendance nous laisse plus vulnérables aux régimes hostiles, et aux terroristes — qui pourraient causer des ruptures énormes en augmentant les tarifs du baril... le prix du carburant... et faire ainsi un grand mal à notre économie, " A-t-il dit, fortement applaudis par l’ensemble des représentants. "Il est de notre intérêt, et c’est essentiel, de diversifier l’approvisionnement en énergie de l’Amérique – et nous devons d’abord le faire par la technologie." Bush a répété son appel pour que le congrès lui donne la possibilité de fixer les normes moyennes de carburant-économie pour des voitures de tourisme, comme son administration fait maintenant pour les camions légers. Le niveau courant de 27.5 milles par gallon (baril) a été pour la dernière fois augmenté en 1990. Le président américain a demandé comme prévu ( voir notre article : « L’avant » congrès de Bush ) au congrès les pouvoirs nécessaires pour installer une énergie plus vertes que précédemment. En 2003, Bush a proposé $1.2 milliards dans la nouvelle dépense sur la recherche de carburant d’hydrogène et a offert une augmentation de 22 pour cent en argent alternatif de recherches de carburant en 2006. Mais en 2004, l’agence de protection de l’environnement a concédé que les émissions ont fortement augmentées au cours des deux ans, alors que Bush voulait les diminuer de 18 pour cent sur 10 ans. L’EPA a blâmé l’augmentation sur une plus grande croissance économique.
Une ’plus grande lutte ’contre le terrorisme, c’est ainsi que le président a présenté le dossier irakien. Il a en outre évoqué le 11 septembre 2001 à plusieurs reprises. Le président a averti le Congrès ainsi que toute la nation que les conséquences d’un l’échec de la guerre qui dure depuis presque quatre années "seraient pénibles et importantes."
Mais le président ne sait pas trop étendu sur l’Irak, Bush avait en effet déjà dréssé un court bilan il y a deux semaines, lorsqu’il avait annoncé l’envoi de 21500 militaires supplémentaires, il à ainsi dit : « Les commandants militaires avec moi, (avons) soigneusement pesé les options. Nous avons discuté chaque approche possible. En fin de compte, j’ai choisi cette ligne de conduite parce qu’elle fournit la meilleure chance de succès". "Beaucoup dans cette chambre comprennent que l’Amérique ne doit pas échouer en Irak — parce que vous comprenez que les conséquences de l’échec seraient pénibles et importantes." Bush a noté des succès dans la guerre en Irak, en énumérant quelques faits d’armes de la coalition, et quelques attaques terroristes déjouées, comme par exemple : l’Anthrax… "La sixième année après que notre nation fut attaquée, je souhaite pouvoir vous rapporter que les dangers sont fini. » Puis de poursuivre : « la guerre sur la terreur que nous combattons est aujourd’hui une lutte de générations qui continuera longtemps après vous et j’ai transmis nos fonctions à d’autres. C’est pourquoi il est important de travailler ensemble ainsi notre nation peut voir ce grand effort de par ce travail commun." Le sénateur de Virginie Jim Webb, démocrate, qui donnera la réponse des démocrates à l’adresse de Bush, a dit lors d’une réunion mardi après-midi, avant le discours de Bush, que l’administration n’a aucun plan qui a "un point final... où les militaires américains seront outre des rues d’un Irak en proie au chaos." "la difficulté que bon nombre d’entre nous ont eue pendant longtemps est qu’il n’y a pas un plan clairement compréhensible de l’administration," A dit Webb. Les démocrates ont choisi Webb pour fournir la réponse en partie parce qu’il est un vétéran du Vietnam, mais pour lui tout ce plan semble « hasardeux », en réalité il n’y a aucune stratégie précise en Irak.
Le doyen de Howard Président du parti démocratique a dit mardi après-midi que Bush "aurait dû penser aux conséquences de l’échec avant d’entrer en l’Irak." "Nous devons achever cette mésaventure irakienne," a déclaré le doyen aux journalistes. "Nous devons arrêter cette guerre soigneusement et pensivement — nous ne pouvons pas apporter aux troupes leur maison immédiatement — mais nous devons aller dans la direction opposée de celle vers laquelle le président veut amener le pays".
Un système de santé plus sain – Le président bush à repris son idée du weekend dernier, une retenue d’impôts proposée jusqu’à $15.000 dans les primes d’assurance médicale maladie, couplée à une pénalité fiscale pour l’excédent de primes qui s’élèvent. Mais l’idée de Bush interroge déjà, en effet beaucoup se demandent comment le plan — qui transformerait des prestations-maladie en revenu imposable — prolongerait l’assurance aux dizaines de millions de personnes sans assurance maladie actuelelment. "elles ont déjà des problèmes. "Le président va devoir l’expliquer parfaitement." A précisé le porte-parole de la Maison Blanche qui a indiqué que la volonté de ce plan et d’entraîner une réduction des coûts pour 100 millions d’Américains environ. Bush a également saisi l’occasion de présenter son idée d’un programme provisoire d’accueil et de traitement de ceux qui veulent venir en Amérique "sans animosité et sans amnistie." "Nous devrions établir un cursus, un chemin ordonné et légal pour que les ouvriers étrangers entrent dans notre pays pour y travailler sur une base provisoire" a-t-il expliqué. Pour Bush se programme empêcherait des traversées de frontières illégales et permettrait d’utiliser les "agents des frontières, plus disponibles pour arrêter les contrebandiers de drogue, et les criminels, et les terroristes," a expliqué le président Bush.
De Washington pour Radin Rue, Charles Vallert. 24 janvier 2007 04 :58
http://www.radinrue.com/spip.php?article359
Après 6 ans de règne ...