L'Argentine plie face au lobby qui n'existe(rait) pas...
L'Etat argentin a plié face au lobby sioniste et "prie" Mgr Williamson, d'aller se faire voir ailleurs. Généreux, comme tous les démocrates auto-proclamés, le pouvoir ****** en place, laisse dix jours à son hôte indésirable, pour se trouver une autre terre d'accueil. C'est que dans un Etat dit démocratique, il faut en faire des tonnes, en matière de criminalité (par exemple), avant de réussir à se faire expulser. Ou alors, si vous êtes pressés, il vous suffit de déclarer que le bobard des chambres à gaz, est un peu gros à avaler.
Dans ce cas, cela va très vite. Le lobby-qui-n'existe-pas (promis juré) s'indigne, rappelle à plus ou moins bon escient combien il a souffert, alerte les médias complaisants, sur le retour de la bêbête immonde et les "autorités" en place font le reste.
On imagine dès lors, la missive qui est parvenue au prélat contestataire:
Monseigneur Richard WILLIAMSON,
Le gouvernement argentin tout entier, a été indigné par vos propos, qui mettent en doute l'existence des chambres à gaz, où des millions de pauvres juifs ont été exterminés, avant d'être incinérés, ou jetés dans des fosses communes.
Notre démocratie, ne peut en aucun cas cautionner de tels propos.
En conséquence, Nous Gouvernement argentin, vous prions de bien vouloir quitter le pays, dans un délai de 10 jours.
A défaut, nous nous verrions dans l'obligation de vous expulser, par toute forme de droit, y compris manu militari.
Dans l'intérêt de tous, il est donc souhaitable que vous quittiez spontanément, cet Etat de droit démocratique, qu'est l'Argentine. Histoire d'apaiser la communauté juive, profondément choquée et on la comprend, par vos immondes allégations.
Recevez Monseigneur WILLIAMSON, l'assurance de notre profonde tristesse.
L'Etat argentin a plié face au lobby sioniste et "prie" Mgr Williamson, d'aller se faire voir ailleurs. Généreux, comme tous les démocrates auto-proclamés, le pouvoir ****** en place, laisse dix jours à son hôte indésirable, pour se trouver une autre terre d'accueil. C'est que dans un Etat dit démocratique, il faut en faire des tonnes, en matière de criminalité (par exemple), avant de réussir à se faire expulser. Ou alors, si vous êtes pressés, il vous suffit de déclarer que le bobard des chambres à gaz, est un peu gros à avaler.
Dans ce cas, cela va très vite. Le lobby-qui-n'existe-pas (promis juré) s'indigne, rappelle à plus ou moins bon escient combien il a souffert, alerte les médias complaisants, sur le retour de la bêbête immonde et les "autorités" en place font le reste.
On imagine dès lors, la missive qui est parvenue au prélat contestataire:
Monseigneur Richard WILLIAMSON,
Le gouvernement argentin tout entier, a été indigné par vos propos, qui mettent en doute l'existence des chambres à gaz, où des millions de pauvres juifs ont été exterminés, avant d'être incinérés, ou jetés dans des fosses communes.
Notre démocratie, ne peut en aucun cas cautionner de tels propos.
En conséquence, Nous Gouvernement argentin, vous prions de bien vouloir quitter le pays, dans un délai de 10 jours.
A défaut, nous nous verrions dans l'obligation de vous expulser, par toute forme de droit, y compris manu militari.
Dans l'intérêt de tous, il est donc souhaitable que vous quittiez spontanément, cet Etat de droit démocratique, qu'est l'Argentine. Histoire d'apaiser la communauté juive, profondément choquée et on la comprend, par vos immondes allégations.
Recevez Monseigneur WILLIAMSON, l'assurance de notre profonde tristesse.