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    La folie et la haine des colons d'Hebron

    tito varich
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    La folie et la haine des colons d'Hebron Empty La folie et la haine des colons d'Hebron

    Message  tito varich Dim 23 Sep - 0:05

    La folie et la haine des colons d'Hebron

    Vous n’avez aucun avenir dans ce pays

    Daniel Ben Simon

    Au plus haut de la rage et de l’humiliation, les enfants de Hebron errent parmi les hommes en uniforme, en essayant de distinguer qui est juif de qui ne l’est pas, qui est de "notre" graine ou de la graine d’Amalek [1]. Au moment où la plupart des enfants israéliens passent leurs vacances dans des centres de loisirs ou en voyage, plongent dans la mer où dans la piscine, les enfants du centre de loisirs de Hebron paraissent vivre sur une autre planète. Les yeux brillants de haine, portant d’immenses calottes et de longues papillotes, ces enfants de 10 ans et moins circulent parmi les hommes en uniforme et examinent leurs médaillons. Quiconque ne porte pas un nom juif a droit à un traitement approprié. Ces petits sauvages aux yeux troubles hurlent insultes et malédictions. Enfants et déjà experts en théorie raciale. Les soldats se voient traiter de tous les noms mais, peut-être sur ordre, ils restent froids, comme catatoniques, sans émotion visible. Les enfants de Hebron rappellent par bien des côtés les enfants des camps de vacances de Jésus, ceux de la Bible Belt des Etats-Unis, empoisonnés par l’idéologie religieuse et devenus le fer de lance du fondamentalisme chrétien.

    "Si quelqu’un vient pour te tuer, tue-le en premier", crie l’un des enfants à un policier des frontières qui porte un patronyme non juif (des immigrants russes et éthiopiens, ainsi que des Druzes, faisaient partie des unités présentes ce jour-là), peu de temps après l’évacuation des familles qui avait débuté mardi. Le petit approche son visage contre celui du policier, presque à le toucher : " Il est dit dans la Torah que je dois te tuer. Tu es de la graine d’Amalek. Tu es un goy, tu n’as pas le droit de mettre le pied sur la terre sainte. Allez-vous en, toi et tes amis ! "

    Un soldat "juif" essaie de calmer l’enfant rebelle, et en réponse, il est assailli d’insultes : "Tu n’es pas juif du tout. Tu es un Nazi. On va te tuer, toi et tous les Nazis qui sont ici. D’autres enfants, dégoulinants de haine, entourent le groupe de soldats et l’observent avec amusement, comme dans un zoo. Les mères, assises non loin de là, regardent leur glorieuse progéniture en ayant du mal à cacher leur satisfaction.

    A quelques mètres de là, une femme nommée Anat Cohen tente encore de perturber l’évacuation de l’un des immeubles. Emaciée, pieds nus, la tête couverte d’un foulard, elle accable les soldats d’injures. Alors qu’elle est en train de hurler, on entend des coups de feu : ce sont des Palestiniens de Hebron qui célèbrent la fin du baccalauréat. Les tirs sont des tirs de joie. Mais elle est persuadée que ces tirs sont des tirs de réjouissance face à la douleur de l’autre, la sienne, et elle devient hystérique : " Debout, chiens ! ils tirent en votre honneur, alors debout, en leur honneur. L’ennemi arabe est en train de tirer en votre honneur, pour ce que vous faites aux Juifs. "

    Un père et un fils, juifs ultra-orthodoxes de New York, regardent avec tristesse les magasins dévastés. Ils se parlent en yiddish. Le fils, Shmouel Landau, photographie les soldats, disséminés dans tous les coins sombres de l’ancien marché de gros. Il est 10 heures, l’évacuation est terminée. Les soldats scient, démantèlent et scellent toute entrée possible pour empêcher les évacués de s’y réinstaller.

    Shmouel va envoyer les photos à ses amis de la secte hassidique Amshinov aux Etats-Unis, qui compte quelques centaines de membres en Israël. " Ce ne sont pas des juifs ", dit-il en montrant les centaines d’hommes en uniforme. " Les vrais juifs, c’est nous. ". Son père acquiesce : " Tu me poses la question des soldats, je vais te répondre. Ils ne sont pas juifs. Regarde-les, ils sont russes, éthiopiens, druzes. Même ceux qui se disent juifs n’en sont pas. Ce sont des sionistes, des gauchistes. "

    "Le gros problème d’Israël, c’est le sionisme", poursuit Shmouel. " Il a coupé les Juifs de la Torah et des valeurs juives. Vous n’avez aucun avenir dans ce pays. Au bout du compte, vous partirez tous, et nous serons les seuls à rester ici. "

    Dans cette enclave de folie et de haine, " Israël " est un gros mot. Pas un seul de ses centaines d’habitants ne se définit comme israélien, comme si Israël était une colonie pénitentiaire. L’Etat d’Israël leur a fourni avec générosité protection, ressources, assistance et même sympathie, mais ils le considèrent comme un gouvernement étranger. La souveraineté israélienne prévaut sur la souveraineté de la halakha (la loi juive), et ainsi, à tous égards, Israël a gagné ici le statut d’ennemi.

    A part la présence des soldats, il n’y a dans le quartier juif de Hebron aucun signe d’israélianité, tout est juif : le nom des rues, les slogans haineux peints sur les boutiques des Palestiniens, les longues barbes, les calottes. Quand on y parle hébreu, le vocabulaire est pauvre. Il n’y a ici ni livres laïques, ni culture israélienne. La plupart des enfants n’ont jamais mis le pied sur le sol d’Israël proprement dit, et les adultes n’y vont que rarement, en général pour des soins médicaux, des fêtes de famille ou des visites de consolation à des personnes en deuil.

    " Je n’ai rien à te dire, tu n’es pas mon peuple, tu ne fais pas partie de mon peuple ", déclare l’un des vétérans du quartier, qui a souhaité garder l’anonymat. " Vous êtes mes ennemis, et je prie pour que vienne le jour de notre vengeance, pour ce que vous nous avez fait au Goush Katif (évacuation des colonies juives de la bande de Gaza), et pour ce que nous faites à Hebron. Je vous hais plus que les Arabes. Vous paierez pour l’éternité pour ce que vous avez fait. " Il a 53 ans, 8 enfants. Le jour de l’évacuation de cette semaine, il s’est levé tôt et s’est présenté sur le champ de bataille avec ses enfants. " Nous ne nous sommes pas battus à fond contre vous parce que nous avons décidé de mener une guerre passive ", dit-il. " Nous nous réservons pour la lutte finale. Vous n’avez aucun avenir dans ce pays, alors dis à tes amis de bien profiter du temps qui leur reste. Nous gagnerons par l’utérus de nos femmes. "

    Crise de foi

    Le désengagement de Gaza a provoqué une crise de confiance comme les colons n’en ont jamais connu depuis la guerre des Six jours. Dans leurs pires cauchemars, ils n’auraient jamais imaginé que le gouvernement irait jusqu’au bout et chasserait des Juifs de la terre "sainte" de Gaza. Pendant des années, ils ont été habitués, ou plus précisément, on les a laissé s’habituer, à dicter sa conduite au gouvernement. Et soudain, Sharon a changé tout cela. Même aux moments les plus aigus de la crise, ils ont cru les rabbins qui déclaraient que " cela n’arrivera jamais " et qu’au dernier moment, un miracle interviendrait qui empêcherait d’exécuter la décision. Depuis le désengagement, de nombreux colons se sont coupés du monde extérieur. Le choc de l’évacuation est encore une plaie ouverte.

    Déjà, au cours de leur première tentative de se réinstaller à Homesh (l’une des deux colonies évacuées de Cisjordanie), la faiblesse du gouvernement à l’égard des rabbins a sauté aux yeux. Un fil, solide comme l’acier, relie l’évacuation d’Amona [2] aux tentatives de retour à Homesh, aux colonies détruites du Goush Katif et aux derniers événements de Hebron : la volonté d’effacer la honte du désengagement de la conscience des colons. Plus jamais ils ne seront évacués de leur plein gré, plus jamais ils n’iront comme du bétail à l’abattoir. Dans ce contexte, la haine envers l’Etat d’Israël et ses institutions a grandi, et le statut des rabbins fondamentalistes, dont beaucoup d’entre eux appartiennent au conseil rabbinique de Yesha (acronyme hébreu pour Judée et Samarie), s’est encore renforcé.

    Deux ans après l’évacuation de Gaza, le gouvernement est confronté à une menace intérieure aux conséquences de nature stratégique. Nous vivons un moment crucial où la coexistence est tendue entre ceux dont les valeurs sont laïques et ceux qui mettent la halakha au-dessus de la loi des hommes. Il n’est pas certain que les centaines de milliers de porteurs de kippa se considéreraient encore comme faisant partie de l’Etat d’Israël au cas où un accord de paix serait trouvé, qui exigerait une évacuation massive de la Cisjordanie.

    Dans ce cas, l’armée, dont la composition reflète celle de la société, verra se poser un dilemme entre ceux pour qui prime la souveraineté de l’Etat et ceux pour qui la halakha lui est supérieure. Pour la première fois depuis la conquête des territoires en 1967, il semble qu’Israël ne pourra pas éviter cette confrontation. On en a vu les premiers signes cette semaine pendant l’évacuation de Hebron, quand des dizaines de soldats ont préféré obéir aux commandements de la halakha plutôt qu’aux ordres de leurs supérieurs [3].

    Daniel Ben Simon
    Ha’aretz, 10 août 2007
    ________________________________________________
    Notes :

    [1] Dans la tradition juive, Amalek (et les Amalécites, qui auraient attaqué les Hébreux après leur sortie d’Egypte), représente l’archétype de l’ennemi des Juifs. En tant que tel, ce nom est souvent utilisé en référence aux Nazis, parfois aux Arabes et, dans les milieux ultra-orthodoxes, aux sionistes. Dans le livre d’Esther, le méchant Haman est appelé aussi Amalek. Et l’on répète souvent : " Souviens-toi de ce que t’a fait Amalek " (Deutéronome. 25/17-18), même hors contexte religieux.
    [2] Colonie évacuée suite à une action en justice intentée par Shalom Arshav. Voir " La Haute cour donne son feu vert à l’évacuation d’Amona , parmi d’autres articles sur le sujet.
    [3] Voir Démanteler le front du refus. Signalons néanmoins que des cas semblables se sont déjà produits lors du désengagement de Gaza. Voir par exemple Pressions de l’extrême droite sur le "maillon faible" : les officiers religieux. Les cas de désobéissance, y compris d’officiers supérieurs, avaient alors été réglés dans la discrétion et avec une relative bienveillance.
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    La folie et la haine des colons d'Hebron Empty Re: La folie et la haine des colons d'Hebron

    Message  MP Dim 23 Sep - 0:41

    Abjection la plus totale Twisted Evil
    Trinita
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    La folie et la haine des colons d'Hebron Empty Re: La folie et la haine des colons d'Hebron

    Message  Trinita Mar 25 Sep - 10:50

    Le vrai déracinement est à Hebron

    mis en ligne le dimanche 11 septembre 2005
    par Gideon Levy

    "chaque jour qui passe alors que cette colonie de sauvages à Hebron continue à exister est un jour de honte pour l’Etat d’Israël"

    Ha’aretz, 11 septembre 2005

    Trad. : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant

    Tant que les exactions des colons continuent à Hebron, Israël ne pourra pas être considéré comme une démocratie ou un Etat de droit. Un Etat est jugé en fonction de ce qui se passe dans son arrière-cour, et dans le cas de la "Ville des Patriarches", cette cour est particulièrement sombre. Ce dont il est question n’est pas un sujet lié à l’existence ou à la non-existence d’une colonie en particulier, mais du caractère du régime en Israël. Cet abcès doit être retiré immédiatement, sans conditions préalables, avant que la tumeur ne s’étende.

    Ce qui se passe à Hebron n’est comparable à rien d’autre dans les territoires occupés. C’est à Hebron que sont perpétrées les plus graves exactions de l’entreprise de colonisation. Alors que les colons pleurent leur "déracinement" du Goush Katif et que les chevaliers à la larme facile prêchent la réconciliation et l’empathie pour leur souffrance, l’expulsion de Palestiniens de Hebron se poursuit à un rythme alarmant. Il ne peut y avoir avec eux aucune réconciliation, eux qui sont les rejetons de l’entreprise de colonisation, et qui traitent ainsi leurs voisins. Quiconque en appelle à la compassion pour les colons évacués de Gaza mais reste silencieux quand il s’agit des actions des colons de Hebron manifeste une curieuse conception de la morale.

    Pourtant, ce n’est pas le comportement brutal des colons qui devrait déclencher une tempête, mais bien celui d’un Etat qui ne fait rien pour les arrêter et qui leur prête même assistance. On parle aujourd’hui d’anarchie à Gaza ? Mais, à Hebron, l’anarchie règne sous les yeux (qui regardent ailleurs) d’un Etat qui possède pourtant des moyens très sophistiqués de faire respecter la loi. On souligne aujourd’hui la tragédie qu’il y a à expulser des gens de leurs maisons du Goush Katif ? Mais les expulsions à Hebron sont incomparablement plus cruelles. Le nombre d’expulsés est bien plus important, et ils n’ont plus rien. Personne ne se soucie de leur souffrance à eux.

    Il est un peu difficile de croire que la situation à Hebron soit cachée des yeux de la plupart des Israéliens, et qu’elle ne bouleverse pas Israël. Depuis 5 ans, environ 25.000 habitants ont été transférés de leurs maisons, à moins d’une heure de voiture de Jérusalem. Le harcèlement quotidien continue, sous les auspices de Tsahal et de la police, et ignoré des médias. Ce harcèlement a pour but d’expulser les habitants qui y demeurent encore d’une zone qui comptait, jusque récemment, 35.000 Palestiniens et 500 Juifs.

    Qui n’a pas visité la ville ces dernières années n’en croirait pas ses yeux. Dans le territoire contrôlé par Israël ("H2", ou territoire israélien, d’après l’accord sur Hebron), on découvrira une ville fantôme. Des centaines de maisons abandonnées, comme après une guerre, des dizaines de magasins dévastés, brûlés ou détruits, leurs portes scellées par les colons, et, partout, un silence de mort. D’après des chiffres officieux, il n’y a plus dans cet endroit que 10.000 habitants. Les autres ont fui leurs maisons et leurs biens, incapables de supporter plus longtemps le harcèlement des colons et de leurs enfants. Voilà le grand désengagement de ces dernières années. Voilà la véritable expulsion.

    Tous les jours, les colons tourmentent leurs voisins. Pour un enfant palestinien, aller à pied à l’école est devenu un voyage dans le harcèlement et dans la peur. Pour une femme palestinienne, aller faire ses courses à l’extérieur est devenu un voyage dans l’humiliation. Les enfants des colons donnent des coups de pied aux femmes qui portent des paniers, les colons excitent leurs chiens sur les vieux, on jette des détritus et des excréments dans les cours des Palestiniens, on bloque l’entrée de leurs maisons avec de vieux métaux, on jette des pierres aux passants : tout cela est de la routine. Des centaines de soldats et de policiers assistent à ces exactions sans rien faire. A l’occasion, ils échangent des plaisanteries avec les colons, mais se mettent rarement en travers de leur chemin. Si un habitant tente de porter plainte à la police, sa plainte sera rejetée sous des prétextes les plus divers. Même quand il y a une chasse à l’homme, avec des centaines de colons (comme cela a été le cas quand, il y a 4 mois, des centaines de colons ont pénétré dans la maison du Dr Tayser Zahadi à Tel Roumeida et détruit tout ce qui leur tombait sous la main), les forces de sécurité sont restées à l’écart sans intervenir. Cette émeute a été enregistrée sur une cassette vidéo, mais personne n’a pensé à la diffuser sur la télévision israélienne.

    Dans le quartier de Tel Roumeida, où ne demeurent que 10% des habitants palestiniens d’origine (50 familles sur 500), cette situation prend des proportions monstrueuses. Les habitants marchent en rasant les murs et chuchotent. Les enfants rentrent chez eux en courant, on se déplace de maison en maison par des échelles. Une vie de ghetto, et tout cela à cause d’une poignée d’émeutiers qui vivent au-dessus d’eux, en haut du quartier.

    Ils ont fini par réussir. La violence des colons a fait ses preuves, et Hebron se "judaïse", ou plus exactement, elle se vide de ses habitants. 500 colons violents ont montré qu’ils avaient le pouvoir d’expulser des dizaines de milliers de leurs voisins, avec l’aide de l’Etat. Personne, au Conseil représentatif des colons (Yesha) ne s’est élevé contre ce phénomène, ce qui fait du Yesha un complice du crime. Yitzhak Rabin a commis une terrible erreur en n’ayant pas le courage de démanteler la colonie après le massacre au Caveau des Patriarches [en 1994, par Baroukh Goldstein], et cette erreur continue à produire ses fruits pourris. Depuis cette date, chaque jour qui passe alors que cette colonie de sauvages à Hebron continue à exister est un jour de honte pour l’Etat d’Israël.

    ndt : Gideon Levy utilise plusieurs fois le mot "pogrom". Or, si les exactions des colons de Hebron sont parfaitement odieuses, il me semble que ce mot de "pogrom" est abusif, car il n’est pas question de massacres. Je me permets donc, en tant que "traducteur/traître", de le remplacer par d’autres, comme "exaction".

    http://www.lapaixmaintenant.org/article1142
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    Message  Trinita Mar 25 Sep - 10:51

    MP a écrit:Abjection la plus totale Twisted Evil
    Ba alors, ma cochonne, t'as encore mouillé ta culotte?c'est toujours pareil quand tu tombes sur des exactions commises par des Juifs, t'en mets plein le clavier Laughing
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    Message  MP Mar 25 Sep - 11:30

    Trinita a écrit:
    MP a écrit:Abjection la plus totale Twisted Evil
    Ba alors, ma cochonne, t'as encore mouillé ta culotte?c'est toujours pareil quand tu tombes sur des exactions commises par des Juifs, t'en mets plein le clavier Laughing

    Contrairement à tes assertions agressives, je n'ai rien mis "plein le clavier", les textes n'étant pas de moi.

    Et je me fous de la race de ceux qui torturent les palestiniens, je ne fais que témoigner de ce que j'ai vu.

    Désolée, Trinita, mais on n'en sort pas intact Twisted Evil
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    Message  Trinita Mar 25 Sep - 12:33

    MP a écrit:
    Trinita a écrit:
    MP a écrit:Abjection la plus totale Twisted Evil
    Ba alors, ma cochonne, t'as encore mouillé ta culotte?c'est toujours pareil quand tu tombes sur des exactions commises par des Juifs, t'en mets plein le clavier Laughing

    Contrairement à tes assertions agressives, je n'ai rien mis "plein le clavier", les textes n'étant pas de moi.

    Et je me fous de la race de ceux qui torturent les palestiniens, je ne fais que témoigner de ce que j'ai vu.

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