Pendant que le bon peuple de gauche ne veut pas voir plus loin que le bout de nez de leurs syndicats, le monde bouge ...
On a vu près d'un million de "grosses fortunes" françaises passer prestement les frontières pour ne pas se faire plumer, mais gentiment concevoir de rentrer à France une fois instauré le boucler fiscal à 50 %, un peu à l'instar de oiseaux "mi-grateurs" qui ne se grattent que la moitié du dos ...
On nous a fait sangloter sur les délocalisations et la misère du sous prolétariat qui en bénéficie dans les pays exotiques, en oubliant d'ajouter que ces travaux, que nous considérons avaec un ethonocentrisme maladif comme "mal payés" en faisaient néanmoins des privilégiés dans leurs pays.
Mais on occulte soigneusement la valse des cadres.
Hier, je tombe sur un reportage sur la Silicone Valley aux Indes. Un lieu que des européens, et surtout des français, gagnent avec enthousiasme.
Un couple de jeunes diplômés de talent (informatique, évidemment) ont été pressentis par les indiens directement à leur sortie d'école. Des jeunes qui n'avaient comme possibilité que les recherches d'emploi et la taxation à la française.
Quelques heures d'avion plus tard, les voici en Inde : un job passionnant, dans des conditions idéales, un vaste appartement avec piscine (offert par l'employeur), une voiture avec chauffeur pour leurs déplacements, et 4.000 € nets d'impôts pour chacun. A 23 ans ...
Ils sont plus d'une centaine de français rien que dans leur société.
Mais voila ! D'autres préfèrent arracher des pavés, et râler sur une supposée note de restaurant ...
On a vu près d'un million de "grosses fortunes" françaises passer prestement les frontières pour ne pas se faire plumer, mais gentiment concevoir de rentrer à France une fois instauré le boucler fiscal à 50 %, un peu à l'instar de oiseaux "mi-grateurs" qui ne se grattent que la moitié du dos ...
On nous a fait sangloter sur les délocalisations et la misère du sous prolétariat qui en bénéficie dans les pays exotiques, en oubliant d'ajouter que ces travaux, que nous considérons avaec un ethonocentrisme maladif comme "mal payés" en faisaient néanmoins des privilégiés dans leurs pays.
Mais on occulte soigneusement la valse des cadres.
Hier, je tombe sur un reportage sur la Silicone Valley aux Indes. Un lieu que des européens, et surtout des français, gagnent avec enthousiasme.
Un couple de jeunes diplômés de talent (informatique, évidemment) ont été pressentis par les indiens directement à leur sortie d'école. Des jeunes qui n'avaient comme possibilité que les recherches d'emploi et la taxation à la française.
Quelques heures d'avion plus tard, les voici en Inde : un job passionnant, dans des conditions idéales, un vaste appartement avec piscine (offert par l'employeur), une voiture avec chauffeur pour leurs déplacements, et 4.000 € nets d'impôts pour chacun. A 23 ans ...
Ils sont plus d'une centaine de français rien que dans leur société.
Mais voila ! D'autres préfèrent arracher des pavés, et râler sur une supposée note de restaurant ...