Fondés dans un élan romantico-patriotico-religieux, les Kibboutz avaient adopté un système "sans argent", que préconisent encore certains utopistes d'E.G.
En fait, chacun faisait ce qu'il pouvait, certains travaillaient même à l'extérieur, et toutes les rentrées financières allaient dans un pot commun, qui assurait les fais de fonctionnement, le logement, la bouffe, les frigues, les soins médicaux, la scolarité etc. "Un monde solidaire et sans argent" ...
30 ou 40 ans plus tard, c'est l'échec cuisant !
- le niveau de vie dans les kibboutz se situe très en-dessous du niveau de pauveté ;
- une partie des gens n'en fiche qu'un strict minimum ;
- les enfants n'ont aucune ambition personnelle et s'ils consentet un vague effort c'et en vue de trouver une occupation dans un bureau pour n pas devoir aller travailler aux champs ;
- les productifs, quant à eux, en ont ultra marre de trimer pour les autres.
- tous remarquent que le système est littéralement carcéral : sans argent, ils ne peuvent "s'évader" et ne trouvent leur subsistance que dans leur "camp".
- tout luxe est impossible, qu'il s'agisse d'un pull, d'un MP-3, d'un petit voyage ou d'une virée en ville.
Dans plusieurs kibboutz, la pression a été si forte que les règles ont dû s'adapter : désormais, chacun sera payé en fonction de sa productivité.
Et la vague de "capitalisation" gagne du terrain tous les jours.
Gageons que ce retour à des règles plus saines contribuera à l'essor de ces unités
En fait, chacun faisait ce qu'il pouvait, certains travaillaient même à l'extérieur, et toutes les rentrées financières allaient dans un pot commun, qui assurait les fais de fonctionnement, le logement, la bouffe, les frigues, les soins médicaux, la scolarité etc. "Un monde solidaire et sans argent" ...
30 ou 40 ans plus tard, c'est l'échec cuisant !
- le niveau de vie dans les kibboutz se situe très en-dessous du niveau de pauveté ;
- une partie des gens n'en fiche qu'un strict minimum ;
- les enfants n'ont aucune ambition personnelle et s'ils consentet un vague effort c'et en vue de trouver une occupation dans un bureau pour n pas devoir aller travailler aux champs ;
- les productifs, quant à eux, en ont ultra marre de trimer pour les autres.
- tous remarquent que le système est littéralement carcéral : sans argent, ils ne peuvent "s'évader" et ne trouvent leur subsistance que dans leur "camp".
- tout luxe est impossible, qu'il s'agisse d'un pull, d'un MP-3, d'un petit voyage ou d'une virée en ville.
Dans plusieurs kibboutz, la pression a été si forte que les règles ont dû s'adapter : désormais, chacun sera payé en fonction de sa productivité.
Et la vague de "capitalisation" gagne du terrain tous les jours.
Gageons que ce retour à des règles plus saines contribuera à l'essor de ces unités