Depuis qu'un jeune albanais contrarié a exprimé son dépit en lardant son directeur de 5 coups de couteaux, les écoles sont en émoi, et d'autant plus que le charmant jeune-homme s'enorgueillit d'un fameux palmarès de violences ...
Du coup, les écoles catholiques exigent que le passé pénal des élèves leur soit communiqué en continu, à usage exclusif de la cellule pédagogique, argant du fait qu'il leur est impossible de "travailler" avec le délinquant, mais aussi d'assurer la sécurité dans l'établissement ce qui est pourtant une responsabilité essentielle.
Nous allons donc entendu un festival de protestations s'appuyant sur "le droit à la rédemption", au "marquage" de cette belle jeunesse, etc.
Est-il normal qu'on reconnaisse des "droits" outranciers à des criminels, mais qu'on expose sans vergogne des salariés et des élèves à leurs actions ?
Dans de nombreux cas, ces violences ont des origines psychiatriques contre lesquelles les écoles ne sont pas armées.
Et le "droit à l'enseignement" est bien le droit de venir s'instruire, pas de foutre le bordel ...
Du coup, les écoles catholiques exigent que le passé pénal des élèves leur soit communiqué en continu, à usage exclusif de la cellule pédagogique, argant du fait qu'il leur est impossible de "travailler" avec le délinquant, mais aussi d'assurer la sécurité dans l'établissement ce qui est pourtant une responsabilité essentielle.
Nous allons donc entendu un festival de protestations s'appuyant sur "le droit à la rédemption", au "marquage" de cette belle jeunesse, etc.
Est-il normal qu'on reconnaisse des "droits" outranciers à des criminels, mais qu'on expose sans vergogne des salariés et des élèves à leurs actions ?
Dans de nombreux cas, ces violences ont des origines psychiatriques contre lesquelles les écoles ne sont pas armées.
Et le "droit à l'enseignement" est bien le droit de venir s'instruire, pas de foutre le bordel ...