Mon coeur se meurt,
Mon âme pleure,
Mes yeux inondés de larmes,
Sur mes joues coulent à flots,
Dans le silence de la nuit, on entend mes sanglots,
Qui révèlent la tristesse de mon âme !
Pourquoi vivre dans cette léthargie ?
Moi qui aime tant ma vie !
Envahie par la tristesse, je ne sais plus qui je suis,
Sur mes lèvres, il y a comme un goût amer,
Qui me rappelle cette plante,
Appelée communément l'absinthe,
Au fond de moi, je pousse des cris de plainte,
Mais qui peut voir toute ma peine ?
Qui saurait alléger ce fardeau ?
Je pleure à en perdre haleine,
Je pense qu'il est peut être trop tôt
Pour espérer vivre cet amour,
A vous, je l'avoue,
Je l'aimerai toujours.
__________________Mon âme pleure,
Mes yeux inondés de larmes,
Sur mes joues coulent à flots,
Dans le silence de la nuit, on entend mes sanglots,
Qui révèlent la tristesse de mon âme !
Pourquoi vivre dans cette léthargie ?
Moi qui aime tant ma vie !
Envahie par la tristesse, je ne sais plus qui je suis,
Sur mes lèvres, il y a comme un goût amer,
Qui me rappelle cette plante,
Appelée communément l'absinthe,
Au fond de moi, je pousse des cris de plainte,
Mais qui peut voir toute ma peine ?
Qui saurait alléger ce fardeau ?
Je pleure à en perdre haleine,
Je pense qu'il est peut être trop tôt
Pour espérer vivre cet amour,
A vous, je l'avoue,
Je l'aimerai toujours.