Hier, France-3, un intéressant reportage sur les gros gagnants de la Française des Jeux.
Des gens très modestes, type HLM, Mr RMiste, Mme femme d'ouvrage.
Et à qui cet heureux coup du sort a laissé la tête froide !
Tous ont commencé par rembourser leurs crédits, placer intelligemment leur capital, et consacré les intérêts à se rendre la vie agréable et à aider leurs proches, mais toujours avec bon sens. Il faut dire que la Française des Jeux met à leur service, pendant un an ou plus si besoin, un service amical d'accompagnement et de bons conseils.
Mais là où on frise l'horreur, c'est dans les réactions des proches et des voisins !
Toutes les expériences des gagnants concordent : environ 20 % de gens qui les élicitent et se réjouissent pour eux, mais 80 % qui leur ont tourné le dos et ne leur adresse plus la parole ! Dans un mélange de rage et de jalousie inexplicable.
Bref, tous ces gagnants ont quitté leur environnement pour des logis finalement assez modestes, mais dans des coins où ils ne risquent pas de rencontrer leurs anciens "amis". Et sans le moindre regret après avoir vu le vrai visage de la solidarité ouvrière ...
Elle est belle, la France d'en bas !
Des gens très modestes, type HLM, Mr RMiste, Mme femme d'ouvrage.
Et à qui cet heureux coup du sort a laissé la tête froide !
Tous ont commencé par rembourser leurs crédits, placer intelligemment leur capital, et consacré les intérêts à se rendre la vie agréable et à aider leurs proches, mais toujours avec bon sens. Il faut dire que la Française des Jeux met à leur service, pendant un an ou plus si besoin, un service amical d'accompagnement et de bons conseils.
Mais là où on frise l'horreur, c'est dans les réactions des proches et des voisins !
Toutes les expériences des gagnants concordent : environ 20 % de gens qui les élicitent et se réjouissent pour eux, mais 80 % qui leur ont tourné le dos et ne leur adresse plus la parole ! Dans un mélange de rage et de jalousie inexplicable.
Bref, tous ces gagnants ont quitté leur environnement pour des logis finalement assez modestes, mais dans des coins où ils ne risquent pas de rencontrer leurs anciens "amis". Et sans le moindre regret après avoir vu le vrai visage de la solidarité ouvrière ...
Elle est belle, la France d'en bas !