J'ai déjà parlé de la lenteur calculée avec lequel travaille l'Office des Etrangers, rythme évidemment préjudiciable aux administrés.
J'ai déjà dit aussi que je trouvais tout à fait normal que quelqu'un prétendant accéder à notre territoire sans les documents nécessaires, et sans cas de force majeure, soit placé en centre fermé s'il ne pouvait être renvoyé séance tenante.
Mais je fulmine quand je vois, comme ce soir, une soudanaise - célibataire enceinte - arrivée chez nous en désespoir de cause pour ne pas être lapidée ... il y a sept ans ! Sa petite fille est donc née en Belgique. Depuis, elle a refait sa vie avec un compagnon trouvé chez nous, et dont elle a deux autres enfants.
Elle vit bien entendu de l'entr'aide de ses voisines, et ne peut travailler (son compagon devrait, lui, mais ce n'est pas précisé).
Et soudain, après 7 ans, considérant que sa fille n'est pas scolarisée depuis 4 ans, ou autres fariboles, elle reçoit son avis d'expulsion, pour elle et sa fille ! Les deux autres petits pourront rester avec leur père, semble-t-il
Il est clair que si cette pauvre femme rentre au pays, ce sera pour y être mise à mort. Tandis que sa belle petite sera excisée (comme 99 % des fillettes), et tatouée au front d'un signe de batardise, avant de devenir ... on s'en fout !
Faut-il 7 ans d'enquête à l'Office des Etrangers pour remarquer qu'une célibataire enceinte n'a aucune chance dans son pays d'origine, et lui offrir un asile humanitaire, éventuellement assorti d'obligations, comme d'apprendre le français (elle le parle très bien), suivre des cours d'alphabétisation, travailler en tickets-services par exemple. Bref la considérer comme une invitée humanitaire priée de s'intégrer vite fait bien fait ? Elle ne demande visiblement que ça ...
On laisse courir des sans papiers qui ne sont que de vagues réfugiés économiques, exigeants et bavards de surcroît, mais quand un cas manifeste se présente, on n'en tient aucun compte ...
Tout le quartier de cette femme multiplie les pétitions : fasse le Ciel, pour elle et sa famille, mais aussi pour l'honneur de la Belgique, qu'elles soient entendues ...
J'ai déjà dit aussi que je trouvais tout à fait normal que quelqu'un prétendant accéder à notre territoire sans les documents nécessaires, et sans cas de force majeure, soit placé en centre fermé s'il ne pouvait être renvoyé séance tenante.
Mais je fulmine quand je vois, comme ce soir, une soudanaise - célibataire enceinte - arrivée chez nous en désespoir de cause pour ne pas être lapidée ... il y a sept ans ! Sa petite fille est donc née en Belgique. Depuis, elle a refait sa vie avec un compagnon trouvé chez nous, et dont elle a deux autres enfants.
Elle vit bien entendu de l'entr'aide de ses voisines, et ne peut travailler (son compagon devrait, lui, mais ce n'est pas précisé).
Et soudain, après 7 ans, considérant que sa fille n'est pas scolarisée depuis 4 ans, ou autres fariboles, elle reçoit son avis d'expulsion, pour elle et sa fille ! Les deux autres petits pourront rester avec leur père, semble-t-il
Il est clair que si cette pauvre femme rentre au pays, ce sera pour y être mise à mort. Tandis que sa belle petite sera excisée (comme 99 % des fillettes), et tatouée au front d'un signe de batardise, avant de devenir ... on s'en fout !
Faut-il 7 ans d'enquête à l'Office des Etrangers pour remarquer qu'une célibataire enceinte n'a aucune chance dans son pays d'origine, et lui offrir un asile humanitaire, éventuellement assorti d'obligations, comme d'apprendre le français (elle le parle très bien), suivre des cours d'alphabétisation, travailler en tickets-services par exemple. Bref la considérer comme une invitée humanitaire priée de s'intégrer vite fait bien fait ? Elle ne demande visiblement que ça ...
On laisse courir des sans papiers qui ne sont que de vagues réfugiés économiques, exigeants et bavards de surcroît, mais quand un cas manifeste se présente, on n'en tient aucun compte ...
Tout le quartier de cette femme multiplie les pétitions : fasse le Ciel, pour elle et sa famille, mais aussi pour l'honneur de la Belgique, qu'elles soient entendues ...