IEV : 19 contrats irréguliers au centre d’études du PS
12/04/2007 10:47
Outre le dossier concernant une attachée parlementaire payée par l'Institut Emile Vandervelde qui a travaillé pour la députée fédérale Alisson De Clercq, les investigations menées mercredi mettraient en lumière 18 autres contrats entachés d'irrégularités lors de la dernière législature.
Alisson De Clercq, députée fédérale carolo (PS), au coeur d'un scandale d'emploi fictif.
Belga©
Outre le dossier concernant une attachée parlementaire payée par l'Institut Emile Vandervelde (IEV) qui a travaillé pour la députée fédérale carolorégienne Alisson De Clercq, les investigations menées mercredi par l'auditorat du travail et les inspecteurs des lois sociales au centre d'études du PS mettraient en lumière 18 autres contrats entachés d'irrégularités lors de la dernière législature. C'est ce que rapportent jeudi plusieurs journaux.
Cette information n'a cependant pas été confirmée par la Justice, qui s'est bornée à souligner que l'enquête n'en est qu'à ses débuts.
Quant à l'éventuelle responsabilité d'Elio Di Rupo, président du PS, dans cette affaire, «à aucun moment, il n'a été concerné par cette affaire qui relève uniquement de la gestion du personnel», indique un communiqué diffusé mercredi après-midi par le directeur de l'IEV, Frédéric Delcor, à propos de l'«affaire Alisson De Clercq».
Il estime également que, si une personne travaille tantôt au siège du centre d'études du PS, tantôt auprès des parlementaires PS, cela se fait au sein d'une même entité comptable et que les moyens financiers et humains peuvent être partagés. L'IEV estime n'être en rien concerné par toute autre relation de cette ex-collaboratrice avec la famille De Clercq et en particulier avec un emploi qu'elle aurait occupé au sein d'une asbl para-provinciale.
L'Institut réagit ainsi à des articles publiés dans la presse samedi et mercredi, selon lesquels le président du PS, Elio Di Rupo, aurait été mis au courant par l'ex-employée du PS au centre de l'affaire, dans une lettre, du fait qu'elle avait été engagée pour un emploi à mi-temps fictif auprès de la Maison du Hainaut.
LeVif.be avec Belga
http://www.levif.be/CMArticles/ShowArticle.asp?articleID=2569§ionID=3
12/04/2007 10:47
Outre le dossier concernant une attachée parlementaire payée par l'Institut Emile Vandervelde qui a travaillé pour la députée fédérale Alisson De Clercq, les investigations menées mercredi mettraient en lumière 18 autres contrats entachés d'irrégularités lors de la dernière législature.
Alisson De Clercq, députée fédérale carolo (PS), au coeur d'un scandale d'emploi fictif.
Belga©
Outre le dossier concernant une attachée parlementaire payée par l'Institut Emile Vandervelde (IEV) qui a travaillé pour la députée fédérale carolorégienne Alisson De Clercq, les investigations menées mercredi par l'auditorat du travail et les inspecteurs des lois sociales au centre d'études du PS mettraient en lumière 18 autres contrats entachés d'irrégularités lors de la dernière législature. C'est ce que rapportent jeudi plusieurs journaux.
Cette information n'a cependant pas été confirmée par la Justice, qui s'est bornée à souligner que l'enquête n'en est qu'à ses débuts.
Quant à l'éventuelle responsabilité d'Elio Di Rupo, président du PS, dans cette affaire, «à aucun moment, il n'a été concerné par cette affaire qui relève uniquement de la gestion du personnel», indique un communiqué diffusé mercredi après-midi par le directeur de l'IEV, Frédéric Delcor, à propos de l'«affaire Alisson De Clercq».
Il estime également que, si une personne travaille tantôt au siège du centre d'études du PS, tantôt auprès des parlementaires PS, cela se fait au sein d'une même entité comptable et que les moyens financiers et humains peuvent être partagés. L'IEV estime n'être en rien concerné par toute autre relation de cette ex-collaboratrice avec la famille De Clercq et en particulier avec un emploi qu'elle aurait occupé au sein d'une asbl para-provinciale.
L'Institut réagit ainsi à des articles publiés dans la presse samedi et mercredi, selon lesquels le président du PS, Elio Di Rupo, aurait été mis au courant par l'ex-employée du PS au centre de l'affaire, dans une lettre, du fait qu'elle avait été engagée pour un emploi à mi-temps fictif auprès de la Maison du Hainaut.
LeVif.be avec Belga
http://www.levif.be/CMArticles/ShowArticle.asp?articleID=2569§ionID=3